12.12.2007

Noel msulman (11/12/07)

Je me retrouve avec des familles musulmanes prêtes à fêter une cérémonie religieuse proche de Noël. Nous sommes un petite quinzaine dans une sorte de salle des fêtes très sombres. Je me met dans un coin de salle et je suis vite rejoins par des enfants. Il y a un sapin de Noël à coté de moi à ma grande surprise.
Un homme assez stressé arrive. C'est une sorte de conteur qui s'occupe de la cérémonie. Il propose au enfants de faire la crèche. Je suis relativement surpris de l'utilisation d'un autre symbole chrétien fort. Le conteur sort des petits santons. Ce ne sont pas les rois mages, mais des représentations symboliques des trois religions du livre, ce qui me surprend agréablement. Les enfants sont incollables sur l'histoire des personnage. Le conteur pose ensuite des questions historiques auxquelles les enfants s'empressent de répondre, sont le regard très fier de leurs pères. Ce sont toujours des question avec une connotation plus ou moins religieuse, ou islam et judaïsme sont souvent étroitement liés.

Le conteur est un peu plus détendu. il donne des sorte des devoirs à chacun. L'un d'eux doit lire une page d'un livre très imagé traitant des foret. Il refuse de lire le livre et m'ordonne de faire son devoir à sa place. Je lui fait remarquer que cette attitude est débile, mais la curiosité me pique à lire son livre.
On y voit des images de différentes foret assorties d'un schéma reprenant ces images, mais avec des arbres et des branches en plus, symbolisant ce que serait la foret sans l'activité de l'homme. Puis il y a des images montrant les forets au jurassique, aujourd' hui, et dans un futur sans hommes.

Il y a ensuite une page sur les conifères. On nous montre notamment un petit conifère au nom latin, et très dangereux pour je ne sais qu'elle raison. Il est expliqué qu'on ne le voit pas pousser, et que lorsque qu'on le sent il est déjà trop tard.

Puis on nous montre différents types de symbiose testé entre des conifères naturels et artificiels. Me voilà projeté dans une foret. Il y a un grand sapin très mince avec autour un petit tronc d'un autre sapin qui s'enroule. Ce sapin symbiote est bleu. J'escalade les deux arbres. Mais je suis quasi nu et j'ai mal. J'essaie alors de séparer le symbiote du tronc, mais c'est très difficile. J'y parviens presque et je me retrouve face à une autre symbiose entre deux conifères. Le symbiote est encore bleu. C'est un sapin requin. Je comprend pourquoi car au sommet de la symbiose, le symbiose bleu à une énorme gueule de requin qui parait presque vivante.
Je me retrouve ensuite face à un autre type de symbiose, dans un désert cette fois ci. Deux sapins poussent de chaque coté d'une marre de boue et s'entrelacent au dessus. Je grimpe mais j'ai très mal, la douleur est insupportable et je redescend en pleurs.

A ce moment, le conteur arrive avec le gamin qui aurait du faire cette lecture. Il le gronde, en lui disant que je n'aurais pas du grimper nu sur cet arbre qui est vénéneux. De plus il explique qu'il y a dans la boue un crocodile de 2 mètres qui mange tout ce qui se présente à sa surface. Le gamin est très mécontent.

Nous nous retrouvons dans la première salle et le même gamin commence à faire un caprice. Il veut s'enfuir et se blottit dans un trou de souris car il est devenu aussi petit qu'un bébé. Avant qu'il ne s'y engouffre totalement, j'arrive a saisir son bras. Mais son corps est de l'autre coté du mur. Il hurle, et je sens qu'il se débat en même temps qu'il change. Le conteur cours de l'autre coté, dans le grenier, pour aller le chercher. Il reviens avec dans ses bras un corps d'environ 1m60 aux bras et aux jambes absolument disproportionnés, très grands. Il est revêtu d'un pelage roux et d'une énorme touffe de cheveux de la même couleur, comme les peluches de petits singes qui sucent leurs pouces. Le gamin est en pleurs, le père arrive et est horrifié devant la nouvelle forme de son gamin. Je suis très mal à l'aise moi aussi, ce gamin n'est plus qu'une caricature d'homme.

12.04.2007

Restau chez les pokémons

Nintendo sort une nouvelle version de pokémon. Elle est révolutionnaire et me donne envie. Me voilà dans le jeu. Il y a des couleurs flamboyantes partout, les objets ont des formes très déssin animé/jeu vidéo. On m'explique comment attraper les pokémons. Ils sont géants et je les attrape avec des tractopelles et des avions munis de pinces géantes. Il y a aussi des bébés pokémons et des oeufs à couver. c'est très ludique. Je me retrouve ensuite dans un restaurant ou l'on mange des pokémons. C'est délicieux, je n'ai plus faim du tout mais je me ressert tout de meme de tout. Arrivé au dessert, je découpe une sorte de tarte au citron et je constate que le rappeur Oxmo Puccino ezst à notre table. Je le félicite pour son dérnier album et il parle. Je veux lui faire remarquer que sur scène, j'ai été un peu déçu par ses musiciens qui ne s'étaient pas suffisement lachés, mais il continu de, parler, parler, parler et ne s'arrete jamais. Je n'écoute pas ce qu'il dit.

Rêve de rêve

Je rêve que je suis dans un rêve. Je marche dans une rue. Les couleurs sont flamboyantes, un peu comme dans une BD. Un ami me fait remarquer que les voitures qui passent à coté sont floues. En effet, alors qu'elles passent à quelques mètres de nous, elles ne sont pas nettes.
Un peu plus loin, il y une une sorte d'ambulance que je lui fait remarquer. Elle toute petite, recouverte d'autocollant de la croix bleue habituelle des ambulance. Elle a par contre 3 paires de roues, 2 à l'avant, et 4 à l'arrière. Ses contours sont irréaliste. En face, nous traversons et pénétrons dans un parc. Il a une sorte de portique énorme en fer forgé ou il est écrit quelque chose. En y pénétrant, nous pénétrons véritablement dans un autre monde. Je suis toujours avec un ami, qui se trouve être une figure paternelle, peut être mon père, un symbole du père, ou moi plus vieux, voire les 3 à la fois. Je suis aussi avec un jeune garçon qui pourrait aussi être moi plus jeune, un symbole de l'enfant innocent, ou mon propre enfant, voire les 3 à la fois. Nous marchons. Les couleurs sont encore plus éclatantes. Nous croisons un écureuil sur un banc. Je le montre au gamin, en espérant que dans ce rêve, l'écureuil aura un comportement surréaliste. Je me prépare même à me battre avec lui. Mais il se contente de fuir. Je suis déçu, il a eu un comportement normal. Nous continuons notre chemin. Je veux leur montrer les hommes fluorescent qui courent dans tous les sens, car ils m'ont fait rire dans un rêve précèdent, Nous somme à laurée d'un petit bois, et adossé contre un arbre une sorcière attend, sortie d'un Walt Disney.. Je la montre au petit et parle avec elle. Au bout de quelque mot nous convenons d'aller baiser. Nous nous éloignons et nous installons sous le portique d'une église. Là, je lui fait subir les pires des derniers outrages. J'en suis presque outré moi même. Des gens passent à coté totalement indifférents. Mais la scène a lieu aussi sous les yeux du petit. Il ne bouge pas et garde la bouche ouverte. Le père arrive et m'engueule, car je n'aurais jamais du montrer ça au jeune. Je suis déçu, ils s'en vont tous les deux me laissant là. Je n'irais pas voir les hommes fluos.

11.15.2007

La mairie de Biarritz

Je suis à Biarritz, dans un immense hall rococo qui est la mairie de Biarritz. Ma tante y est présente, ce sont en effet les élections. Elle est assez tendue, c'est le dernier tour et elle est troisième, non loin du second qui lui a fait un mauvais coup. Tout le monde attend dans le hall.
Transition, il y a deux japonais qui discutent dans un hors bord dans une scène en noir et blanc. C'est filmé de manière très mauvaise, un peu amateur des années 50; la voix de mon père me dit que dans le film il y a des incrustations de vieux films pour des raisons d'économie. Il me dit que le film incrusté est ici "les sept samurai". J'avoue douter de sa parole, car dans un film sur les samurais au moyen âge, il est peu probable qu'il y ai des hors bords.
L'attente recommence à la mairie de Biarritz. Elle semble même durer des heures.
Arrive les résultats. Le candidat le plus populaire n'a que 400 voies. Le maire sortant est également battu, ma tante devient maire de Biarritz. Nous ouvrons la grande porte qui donne sur la mer. J'y vais pour surfer. Je saute dans l'eau.
Mais les vagues sont gigantesques. Elle m'écrasent et m'emportent. Il y a un grand grillage au bout de la plage. Les vagues successivement m'y emportent. Je perds mon surf sous la violence des assauts. Les vagues dépassent maintenant le grillage, et je passe par dessus, pour me réfugier sur des cailloux en hauteur. Les vagues atteignent quand même cette hauteur et je m'enfuis.




INTERLUDE: Fond sombre. Le logo kinder apparaît, un enfant à l'air triste, presque en pleur. Un kinder surprise apparait. Il se liquefie dans son jouet, une sorte de petite benne verte avec des dents de vampire. La petite benne roule en direction de la bouche d'un adulte et y déverse son contenu.
"Kinder halloween, interdit aux enfants"

11.11.2007

La tribu perdue (11/11)

Je suis dans une sorte de tunnel sombre. Un petit cour d'eau le traverse, avec de petits galets dans le fond. Je marche et quelqu'un me montre alors 3 jolies jeunes femmes au loin: elles me sont présentés comme étant des déesse de la fertilité dans une mythologie juive-africaine. Je les prend surtout pour des illuminées et je marche avec elles. Elles sont toutes euphorique. L'une d'elle me dit qu'elle communique avec les créatures animales. Je reste peu rassuré et lui fait part de mes doutes quand à éloigner les serpents qui pullulent dans le cour d'eau. Je suis tres peu rassuré, et il le semble en permanence marcher sur de petites créatures visqueuses, de petits lézards ou salamandres.

Le tunnel et le cour d'eau débouchent alors sur une ville en Afrique, une sorte de havre de paix oublié peuplé de juif. Il y a tout autour des bâtiments d'architectures coloniale et art-déco construit sur une énorme avenue, comme un village américain du far west. Tout y est très lumineux et fertile. Je m'engage dans cette rue. Je réalise que je connais les trois déesses: ce sont trois amies à moi. Je suis heureux de les revoir. J'apprend qu'un autre ami est considéré comme une sorte de dieu ou de roi dans le même village.
Les trois filles se lancent dans des numéros d'acrobatie dans le village, profitant du mobilier urbain. J'essaie de les suivre mais elles se moquent de moi, je ne suis en effet pas très agile. L'une d'elle me dit que j'ai beaucoup grossi, ce qui explique mes maigres performances. Vexé, je m'éloigne dans l'avenue. Elle semble interminable, et au fur et à mesure que je m'enfonce, le temps est de plus en plus sombres, les bâtiments de plus en plus menaçant. Il y a un tabac au loin, et je décide de faire demi-tour.
Je recroise mes trois amies qui se décident de m'expliquer leur art de déplacement. J'éssais de sauter sur un gros bloc de béton à la manière d'un crapaud. C'est assez drôle. Il y a un petit couple de vieux qui nous regardent. LEs trois filles m'assurent qu'elle me feront rentrer dans la communauté quand j'irai embrasser sauvagement le petit couple. Cette idée me dégoûte un peu.
Je remarque que sur les trottoirs, à coté de tous les casinos et autres bâtisses, il y a des sculptures d'animaux en grandeur nature, peinte, pour donner l'illusion du vrai. Je réalise que ce sont des animaux européens qui ne pourraient survivre à ces latitudes. Un paon à la tête arraché et une sorte de crâne en béton gît à ses cotés.

L'évasion en scooter volant (5/11)

Je suis sur un scooter dans les rues de Pau. Je vois surplombant la ville une énorme église baroque et je décide d'aller y jeter un oeil. Je grimpe donc dans la ville, bien plus dense qu'elle ne l'est en réalité. Une fois arrivé, je peux admirer les vitraux et les tours en gothique flamboyant. Mais il y a a coté un zoo, et un alors que je suis sur ma mobylette un ours polaire s'approche. Il me fait peur et je démarre en trombe. Mais comme un chien, ce démarrage l'excite et il se lance à ma poursuite. Je me vois alors d'en haut, avec l'ours à mes basques, en train d'essayer de me frayer un passage entre les voitures pour ne pas que l'ours me dévore. Je réaliste que je suis habillé en militaire, avec un gros sac kaki, et que même la mobylette a les couleurs de l'armée.
Arrivé dans un tunnel, pour me débarrasser de l'animal une bonne fois pour toute, je décide de m'envoler. Je me vois alors regardant l'ours qui ne comprend pas depuis les airs et je continu mon chemin. Je voltige dans les courants sur ma mobylette et j'aperçois une grande bâtisse entourée de haut murs.
Je décide d'aller y jeter un oeil et j'atterris littéralement au milieux d'une fete. Il y a des militaires partout, ça boit du champagne et les gens sont un peu éméché. Surgit alors notre Président, Monsieur Sarkozy, ou du moins la caricature de Sarkozy à la manière de Charlie Hebdo. Ce Sarkozy cartoon est relativement ivre et vient me serrer la main avec grand fracas et familiarité. Quand il me serre la main, il se sert de son majeur pour me chatouiller la paume, comme le ferai les homos selon la légende. Mais je pense à ce moment là qu'il doit s'agir d'un code secret franc-maçon, voire même la fameuse poignet de main secrette franc-maçonne. Notre honoré président s'en va et je me retrouve à discuter avec quelques trés jeunes hauts gradés, qui semblent plus porter l'uniforme et les galons par déguisement.
Je décide de partir et je me retrouve chez un ami, rivé devant World of Warcraft. Pour se donner du courage, il sniffe un énorme rail de coke quand sa mère débarque dans sa chambre. Elle est habillée de fourrures et passablement éméchée. Elle vient de la même fête que moi.

10.25.2007

Le masque

Je suis avec un mec que je n'aime pas vraiment. Je le trouve meme un peu con. Mais il me dit qu'il a l'impression que je joue un role en permanence en ce moment. Il me le repete plusieur fois.




C'est vrai que j'ai l'impression de me diluer.

10.11.2007

Le phantome de l'opéra

Je suis avec un ami et sa copine. Il fait sombre. Nous sommes allongés. Mon ami s'éclipse quelques instant et la fille se tourne vers moi. Elle me présente son vagin et j'y glisse un doigt.
La sensation est étrange. Mon doigt est dans une bouche un peu édenté. Travelling arrière. Dans une petite pièce sombre confinée, un homme se tient devant moi. Il a des cheveux long et une robe. La ou il devrait y avoir sa tête, il y a un crâne rougeoyant, très sombre. Il lui manque ses dents de devants, et la seule qui lui reste ne semble tenir que par un mince lambeau de cher. En effet, j'ai le doigt dans sa bouche. Quand je réalise à quel point il est horrible, je le retire. Un air d'opéra est alors joué. L'homme chante en play back. Pourtant, au fur et à mesure, on l'entend chanter. Ce n'est d'abord qu'un murmure, puis c'est un hurlement, l'homme crache ses paroles en rapant.
Fin.

10.01.2007

Ptérodactyle et ski

Je suis au sommet d'une piste de ski. Je suis au bord de la piste, a coté de moi il y a un gros tas de neige gelé, et en dessous de ce tas, un couple qui discute. Je me dis que pour m'amuser je pourrais leur faire tomber le tas dessus. Je commence à gratter pour faire s'écrouler le monticule. Mais je réalise alors que ce n'est pas un petit tas mais qu'il a la taille d'un container, et s'il s'écroule sur les gens en bas il risque de les tuer. Je m'arrête alors, mais le gros monticule s'écroule et dévale la piste. Heureusement, personne n'est blessé quand il arrive en bas.

Le tas révèle cacher un container bleu géant. Je suis avec une fille que je ne connais pas. Nous ouvrons le container qui se révèle encore plus grand que ce que nous croyions. Une fois dedans surgit un énorme ptérodactyle bleu lui aussi. Apres une petite lutte, nous arrivons a refermer le container avant que le monstre ne sorte.

9.30.2007

P.D.D.

Puff Daddy domine le monde.
Il a mis au point son plan machiavélique; désormais tout le monde est à sa botte. Mais je ne le sais pas encore.

Me voilà donc avec des amis, et j'en fais l'amère expérience. Ce ne sont que des zombies à la solde du rappeur. Je pars donc me cacher dans le chenil de Mont, et des motos passent devant devant lors de rondes. Des chiens entrent dans le chenil, nous discutons un peu, mais ils sont un peu bête et tentent d'ouvrir le chenil avec leur pattes malhabiles. Un garde nous vois et je tente de m'enfuir discrètement, mais il y a une récéption à quelques metres, et je m'enfuis en fracs. Je tente d'escalader le murs, en vain. Quelqu'un m'ouvre alors une porte dans le murs, et me voilà de l'autre coté. Mais je dois quand meme fuir. Il y a en face un grand grillage que j'escalade, et atteri sur un cour de tennis bleu bondé.
Je me defais de mes ravisseurs.


Me voilà ensuite à Limoges, chez un ami. Malheureusement, il est aussi sous l'emprise de Puff Daddy, qui est là en personne avec une garde importante. Il me montre un téléphone motorola blanc immaculé, sur laquelle passe un petit film d'animation en image par image avec des légos. Ce sont ces films de légo qui contrôlent les gens. Puff daddy s'en va, et je discute avec les gens présents. Ils sont un peu terrifiés par le rappeur, mais sont tres agréable. Je parle avec une cuisine une sorte de chocolat au lait géant, dans lequel elle rajoute des poivrons, piments, et tomates. Le mélange se revele très bon.
Je me rend compte que puff daddy a oublié son téléphone portable. Je m'en empare et prend des photos pour désintoxiquer les gens. je finis par casser le téléphone portable qui se brise en miette.

Les gens sont content d'être libres. On me propose un bonbon que j'accepte, mais l'avale de travers. Je crache une bonne partie qui se brise en miette sur le sol. Mais un morceau reste coincé au fond de ma gorge. Je le sens qui gratte, et bois un verre d'eau. Mais le morceau de bonbon inverse le rôle de la trachée et oesophage. Ce qui fais que je sens un liquide frais entrer dans mes poumons. Je panique, et pars à l'hôpital.

Mais l'hopital est pleins de gardes de puff daddy. J'apprend que c'était un hôpital brésilien en faillite qui a été racheté par le rappeur.
Je reste sur le parking, ou un énorme doberman monte sur un lampadaire.

9.29.2007

Je suis à Bordeaux, dans un lieux isolé, ou se dresse un énorme batiment de type bauhaus d'un blanc étincellant. C'est l'école d'architecture de la ville et c'est aujourd'hui le concours. Je me retrouve donc avec quelques étudiants à l'interieur, et nous nous perdons dans des couloirs immenses et labyrinthiques.

Mais nous avons rendez vous dehors. Le directeur est là, et nous annonce que la premiere épreuve consiste à attraper un pigeon à la main et se retrouver dans l jardin de derriere. Tout le monde s'en va, mais je reste pour flaner et me transforme en une sorte de culboto minuscule. Un pigeon arrive vers moi et m'ennuit. J'essaie de rejoindre l'école, mais je ne suis pas assez rapide, il me pousse dans tous les sens. Finalement, je reprend ma forme humaine et m'empare de lui. Je cours ensuite vers le batiment et tente de trouve la piece. Je passe bien devant un jardin, mais il est dégueulasse. Je continue monc chemin, croise d'autres personnes de l'école avec des uniforme tres marine 19e et rococo. Puis, je trouve un plan de sécurité de l'école et grace à cela trouve le jardin. Je suis le premier arrivé. Mon pigeon tire une drole d etete. Il se convulse dans mesmains, tente de sortir et vomi une sorte de blanc. Je suis soulagé de le laisser partir une fois l'épreuve terminée.

Le directeur reviens et nous donne une autre épreuve assez simple d'orientation.
Viens la troisieme: il dit avec un sourire qu'il va faloir courir et trouver la salle 220. En effet, la salle 220 n'est nulle part indiqué dans les plans. Avec d'autres eleves nous reflechissons. Je pense qu'il s'agit d'un code, et qu'en le décorticant nous trouverons le rai numéro. Mais ça ne donne rien. Sur le toit, deux personnes crient et nous annoncent avoir trouvé la salle.
Je comprend qu'en effet je dois courir et me met à courir dans le batiment pour monter. Je corise un second étudiant cours lui aussi, et je me jiont à lui. Nous arrivons au sommet d'une tourelle, puis il y a une petite échelle étroite. Mon camarade se saisit d'une pierre ronde e je monte l'échelle. Une fois la tete dans la piece, les deux en hauts rabattent une planche de bois vers moi pour me décapiter, et mon collegue leur lance la piere dessus, qui les immobilise dessuite. Nous montons tous deux dans la salle 220.

Les autres arrivent à leur tour avec fracas. Puis le directeur nous invite à un brunch dans le jardin pour feter la fin des épreuve. Je suis fatigué, et il me prend à part pour m'expliquer que l'art n'est que mélange et évolution.
Je retourne sur le parking ou arrive mes parents. Je retrouve mon frere et mon cousin qui ont passés les epreuves avec moi. La mes parents m'annonce que meme si je suis pris, je dois laisser la place à mon frere car je ne suis pas assez beau. Je suis effondré, j'ai tout donné mais je ne suis pas assez beau. Je refuse, ils insistent, et le directeur arrive. Finalement, c'est JD qui est pris, je me retrouve sur le carreau, effondré.

9.25.2007

Catch dans la jungle

Je suis dans la jungle. Je cours. Il y a des avions avec des scratch comme sur mes stan smith qui attaquent. Et ce sont mes mains version géante qui tiennent les avions.
Pourtant je cours, et j'arrive dans une sorte de clairière avec d'autres survivants à la kolanta.
Nous essayons d'organiser une vie de camps. Nous avons des vélos, nous en sommes tres content, mais rapidement, ils se dégonflent tous et il devient difficile voire pénible de les utiliser.
Je reçois également une guitare venue du ciel, qui me ravit. Il y a un grand catcheur tres gentil dans un coin. Il est gentil, mais je me méfie de lui, quelque chose me déplaît dans son attitude.
Je dois m'éloigner, et confie donc ma guitare à paméla anderson qui regarde la TV.

A mon retour, sa case n'est qui ruine. Et le catcheur est devenu dément. Je suis tres mécontant, ma guitare a disparut, et je veux la récuperer. Je me bat donc avec cette brute. Il est tres grand et tres fort. Je sors une sorte de sèche cheveux futuriste qui balance des rafales de vent et lui tire dessus avec. Quand je met ma main devant, je ne ressent qu'un leger vent, mais dirigé sur lui, celà le blesse profondement. Ses habits se déchirent et il saigne.

Interlude. Un commandant de 5 catcheurs pénetre dans une sorte de ruine de cathédrale gothique. Tout est sombre. Les 5 catcheurs sont habillés de longues tuniques de cuirs noir, blanches ou rouges. Ils ont aussi d'épais masques de cuirs recouvrant leurs visage. L'un d'eux à le masque de spawn, l'autre une croix blanche en plein millieu, un autre une croix de fer ou un masque de musicien de kiss. Leur chef se mare, se tord de rire à en perdre haleine meme. On n'entend que son rire tonitruant dans les ruines du bâtiment.
Les 5 sont collés au murs et avancent avec méfiance. On dirait une sorte de caricature de commando, s'efforçant d'être discret malgres le rire affreux du chef, qui tripote tout ce qu'il trouve: un vieux chandelier, puis un vieux piano ou plusieurs catcheurs se mettent à jouer ensemble une mélodie déglinguée. Puis ils pénetrent dans la pièce principale ou le grand vilain les attend dans la pénombre.

Je reviens dans le premier rêve: je suis moi aussi dans la pénombre de cette piece. Le grand méchant me fait face en me souriant. Il m'annonce que je ne peux me débarrasser de tous ses héraut. Il en appelle d'ailleurs un autre. Il est gigantesque, habillé de cuir et de fourrure. Et il a une sourte de rictus qui bloque son visage en une grimace ricanante. Il a des clous sur le visage, on le croirait droit sortit d'un comics.


Je me réveille et me lève tout exité. Je cours raconter ce rêve etrange à un ami. Il est dans une sorte de couloir blanc. Du mon s'affaire pour monter des étageres. Je monte sur un tabouret pour etre à sa hauteur et lui fait noter mon aventure. Je gène les bonnes femmes qui montent les meubles, mais insiste pour qu'il note ça sur une enveloppe, puis une autre et encore une autre. Il semble être agacé, mais je suis content d'avoir noté ce reve étrange.

9.09.2007

Le bus de la mort (Nuit du samedi 8 au dimanche 9)

Je suis dans un bus. Il emprunte des routes sinueuses. Il y a beaucoup d'amis à moi dans ce bus; Claire, Nicolas, Fabien, Léa et Nono. Nico et fabien sont au fond du bus. Je discute alternativement avec tout le monde. Nono me demande de lui prêter des cd. Je regarde dans mon sac, n'en voit que peut. Pourtant, au fur et à mesure que je regarde je semble en trouver de plus en plus. Ce sont des cd, dvd ou cd-rom. Certains cd sont sur des sortes de sovles en plastiques cassés initialement destinés à être glissés dans un classeurs. Mes CD ne ne lui conviennent guerre. Je n'en ai que peu de biens. Nous regardons ensuite mes DVD. Encore une fois, cela ne semble l'intéresser. Il y a notamment la trilogie des 7 samouraïs (??) que je lui conseille, étant sur que cela lui plaira. Elle refuse poliment, m'expliquant qu'elle n'a pas aimé le premier, le trouvant un peu surfait.
Je ne trouve pas mes bons DVD.
Je retrouve cependant dans le fond du sac de vieux jeu de playstation 1 que louis semble m'avoir donné (dans un rêve précédant?). Ils semblent apparaître par myriades et j'ai l'impression que mon sac en est rempli.

Elle fini par descendre à un arrêt, à gouze j'ai l'impression. Le voyage continu dans des routes toujours plus sinueuses et semblant monter. Le chauffeur laisse sa place à un jeune homme. Il semble apprenti conducteur de bus et se met à conduire le véhicule de manière assez chaotique. Il continue sa conduite, s'améliorant. Pourtant, il frôle régulièrement de lancer le bus dans le ravin adjacent. Alors que le bus roule encore, il se lève pour expliquer son cas et sa conduite douteuse, nous expliquant qu'il n'est pas dans son intérêt de nous faire mourir, car lui aussi mourrait; de plus, ce serait au chauffeur officiel d'assumer l'entière responsabilité de la chute du bus.

Je suis à ce moment assis avec Léa. Elle me propose de passer le week-end chez elle. C'est à ce moment que je percute que je ne sais pas pourquoi je suis dans ce bus, que je ne sais même pas ou il va. Je veux savoir si cela ne la dérangera pas, et si ça ne dérangera pas non plus ses parents. Elle m'explique que non et fini par accepter. Nous continuons de discuter et arrivons chez elle. Je descend du bus et salue tout le monde. Il y a une grande batisse, surement un vielle ferme rénovée et de grands murs contruits dans la boue.
Mais à ce moment je réalise que j'ai oublié mon sac dans le bus. Je lui cours après espérant qu'il me voit, mais le chauffeur débutant ne semble pas me voir et disparaît dans un virage.
Une jolie dame entre deux âge présente me propose de rattraper le bus pour récupérer mon bagage.
Me voilà dans la voiture rouge, et je remarque immédiatement une étrangeté. Entre le capot et pare brise, les angles semblent se rejoindre, un peu à la manière d'une guêpe dont le corps l'abdomen est séparé du reste du corps. La prononciation n'est pas aussi marquée évidement, mais cela m'intrigue. La dame m'explique que c'est très fréquent dans la région, que cela permet par les rétroviseurs latéraux de voir l'avant du véhicule. En effet, en regardant sur le rétroviseur de la portière, on distingue nettement le pare choc. Nous roulons sur une grande route rapide, bien différente de l'étroite route précédente. Il y a d'ailleurs une circulation assez dense.
Je pense alors à claire, dans le bus, qui pourrait sûrement récupérer mon sac. Je l'appelle, mais elle est malheureusement déjà descendue à son arrêt.
Nous continuons donc la route, et j'explique à ma chauffeuse que je doute de l'utilité réelle du système particulier de ce véhicule, et qu'il semble fort rare.
A cet instant précis, nous croisons une voiture identique en tout point à la notre, ce qui me cloue le bec.
Je remarque qu'en fait, cette amélioration est due à une sorte de petite remorque sur la voiture. La voiture est en effet posée telle quelle sur une sorte de petite plate-forme avec 4 roues. Les 4 roues initiales de la voiture sont toujours présente et ne roulent pas. Par je ne sais quel système, elles ne tournent pas non plus lorsque l'on tourne le volant. Elles restent immobiles à tout instant.

Hitler et mie de pain(Nuit du vendredi au samedi 8 septembre 2007)

Rêve très confus.


Les super héros sont interdits par Nicolas sSarkozy. Malheureusement, je fais parti d'une équipe de 7 et nous sommes donc en état d'arrestation.

Le rêve commence, nous somme dans un vieux quartier de paris, très typé Haussman et XIXe siècle. Une colonne de CRS arrive en trombe avec de vieux canons de la seconde guerre mondiale remorqués à leurs camions. Ils lancent alors une pluie d'obus sur les cités du 93 sous nos yeux impuissants.

Nous devons rentrer dans nos quartiers, mais discrètement. Nous montons dans notre calèche, et c'est Adolf Hitler, ou du moins un métamorphe de notre groupe, qui prend les rennes du véhicule. Je me dis qu'avoir Adlof Hitler comme cocher n'est pas la chose la plus discrète. Un nuage de brouillard se forme alors autour de nous pour nous pour nous permettre de changer discrètement de chauffeur. Pinnochio prend alors la place d'Adolf comme cocher (sic).
Nous voilà dans notre QG, qui est la maison de mon et sa grange avant qu'elle ne soit refaite, c'est à dire, à l'entrée principale. Les murs sont décorés selon un manière très religieuse et XVIIe siècle, pleins de marbres blancs, de peintures merveilleuses. Il y a cependant des problème avec les tuyaux d'aérations qui traverse la salle de manière anarchique. Il faut grimper et les replacer. Pour cela, il faut emboîter des morceaux de mie de pain les uns dans les autres.
C'est une opération très délicate qui mérite une grande réflexion et une grande dextérité.

Pau, ville hiphop catholique (Vendredi 7 septembre)

Je suis dans une voiture à destination de Pau.
Je feuillète un magasine traitants des nouveautés CD. Il y a pas ma de CD en hiphop qui semble intéressants, notamment un nouveau CD du club des 7 (dont je peux écouter un extrait) et une critique du dernier album révolutionnaire de Jean-Michel Jarre, ou les rythmes sont fait selon un nouvelle méthode japonaise à base de scratch et de bidouillages sonore. Je me dis que je me les achèterai bien.

Je descend ensuite, je suis à Billere, du moins dans la périphérie de Pau. Il peut des cordes et je vois qu'un concert du club des 7 est prévus dans une église. Il y a deux grandes églises. Je passe à la première qui semble fermée. La seconde à un forme bizarre, qui n'est pas vraiment en forme de croix. L'entrée est situé dans un endroit incongrus du bâtiment. Il y a une grande façade en verre avec une rosace en pierre au milieu.

Le concert ne semble pas là non plus. Je continue ma route sous la pluie et me fait arreter par un facteur. Il me charge de dire au curé de pau que les kilos d'oranges qu'il a commandés arriveront bientot et qu'il doit se tenir pret à les recevoir.

Je continue ma route vers pau et passe instantanément au centre ville. Je me dis que le trajet me semblait pourtant beaucoup plus lointain.
Il pleut toujours et je croise 2 gamins expliquant qu'ils ont fumé un mec écoutant DJ Shadow, traitant mal le DJ par la même occasion. Je vais les voir et leur explique qu'à l'époque c'est moi qui fumait les autres en écoutant DJ Shadow. A ce moment, une voiture passe à coté et la musqique de DJ shadow se répand dans les environs le temps du passage.

A coté,place Clémenceau, je vois une sorte de grande avancée dans un batiment, sous une ogive. Je m'y dirige et demande si le presbytère est bien là. Il y a une plaque à coté de la porte géante dans le fond. La plaque est tres haute et je n'arrive pas à la lire, comme si je n'avais pas de lunettes.
Je décide alors de grandir pour me rapprocher de cette plaque, mais elle est toujours illisible, même quand je fronce des yeux. Je crois voir écrit presbytere et me prépare à taper à la porte.

Bourbon el mexicano (Dimanche 2 septembe)

Je suis dans une sorte de désert. Rien aux alentours. Je me dirige vers une sorte de colline maronnâtre. De nombreux touristes prennent la meme direction.
C'est un site historique. Il y a des oeuvres d'art préhistorique composée de squelettes d'animaux retenus entre eux par des fils, suspendus également. Ils sont tres grands et rangés par taille. Il y a des chats géants, des cerfs dont on reconnaît les crânes. Certains animaux sont réassemblés de façon fantaisistes. Nous nous engageons ensuite dans une tranchée et nous enfonçons dans cette terre marron.
Apres un virage ou nous contournons un grand talus, nous penetrons dans un château sous terre, portant le nom de chateau Bourbon.

Je réalise que nous sommes au Mexique et me demande ce qu'un chateau de style renaissance tres rococo et baroque fait dans ce coin du globe.
En effet, le style est tres flamboyant, chaque detail est sculpté ou gravé. La pierre est tres claire et semble presque reflechir le soleil.
Nous pénétrons dans cette sorte de chateau enseveli sous le sable et penetrons dans une première pièce. Elle ressemble à la proue d'un bateau, mais en pierre, avec quelques traces de bois. Un panneau à l'intention des touristes informe qu'il s'est tenue ici une grande bataille. A ce moment, des gens en armes habillés de manière moderne mais avec des armes médiévales semblent revenir se battre ou refaire la scène.

Depuis la "proue", nous enfonçons dans les entrailles du château, comme si nous allions dans un aquarium dans le tunnel des requins. Nous descendons des escaliers de pierre blanche et croisons alors deux amis. Ils semblent tout exités et déguisés en lutins/farfadets, tout de vert vêtus avec un chapeau pointu de la meme couleurs. Ils nous entraînent dans une sorte de piece secrète adjacente. C'est une grande piece de forme ovale ou sont placé au centre des ceintres avec d'autres costumes de farfadets.
Les deux amis nous expliquent alors l'origine du chateau.
Ils se changent immédiatement et deviennent isabelle la catholique et Philipe de bourbon. La premiere à un bandeau au couleur de l'espagne sur elle, à la maniere d'un maire, le second a deux bandeaux, un aux couleurs de l'espagne et l'autre aux couleurs de la france. Le fait qu'ils soient tous deux mariés ne me pose aucun probleme, j'accepte cette donnée comme évidente. La piece donne alors sur une sorte de parc géant et verdoyant à l'orée du desert, qui semble avoir poussé la de maniere quasi miraculeuse. Nous en faisons le tour.

8.27.2007

Fantomes et culotte de mickey

Je suis avec mon pere, nous nous rendons dans la maison de ma grand-mère aujourd'hui décédée. Nous entrons dans le garage, qui regorge de vieilles affaires poussiereuses baignants dans la pénombre. Il y a une ambiance vraiment tres particuliere dans la maison; mon père sort alors un petit appareil étrange à cadran se terminant par une grosse antenne. L'aiguille de l'appareil s'affole. Nous sommes en présence de nombreux fantomes, ou du moins d'un fantome tres puissant. A ce moment, trois verres se mettent à léviter et s'avancent vers moi. Je suis mort de trouille, je lance un grand coup au hasard, te les verres se brisent par terre. Je prend soin de les mettre en tous petits morceau, que je réunis dans un poubelle pour les faire bruler.

La porte du garage s'ouvre alors brusquement. Un homme au regard froid et au visage anguleux pénetre alors dans le garage. Ses longs cehveux noirs et son trench coat élimés dégoulinent à cause de la pluie à l'interieur. Il sort de son portefeuille ce qui semble etre une carte de police. Mais c'est un présarvatif sur une plaque de police qu'il a en réalité. Il s'exclame alors "Police du sexe, je vais tous vous baiser!". Nous arrivons à l'immobiliser, et de véritables pompiers et policiers arrivent pour "défantomiser" la zone.

Mais l'experience avec le fantome m'a laissé amère. Je dois organiser une fete dans la maison le soir même, mais je n'ai plus vraiment le coeur à ça. Une amie de ma mere arrive avec sa petite fille de 3 ans. Elle porte un costume de mickey que je m'empresse d'essayer. Je n'ai en fait qu'une culotte trop petite de mickey, avec ses deux gros boutons jaunes. Je me sens des plus ridicule et m'en débarasse.
Je téléphone alors à un bon ami pour parler de l'épisode du fantome. Il me fait remarquer que ce fantome était surement ma grand mère, et que si elle était un fantome si puissant, elle ne devait pas etre aussi angélique que je semble le croire. Je ne comprend pas ce qu'il veux me dire, et quand je lui demande de m'expliquer, le téléphone se coupe. Malgres tous mes essais, je n'arrive plus à le contacter. Je suis seul avec mes intérogations.

8.25.2007

Je suis dans une situtation on ne peux plus banale, je pense même être dans la réalité. Je croise une connaissance avec qui je me met à discuter. Au fur et a mesure de la discussion, nous parlons d'un de mes vieux rêve ou il était un personage. Je commence à me demander comment il le connait lui aussi, comment il a pu vivre cette situation hors de mon inconscient. Je comprend à la seconde ou je m'éveille. Ce n'était qu'un rêve.

8.13.2007

Chemin de Nuit (12 au 13 aout)

Je viens d'emménager à Paris. Malheureusement, je ne connais personne et je m'ennuie un peu. Je décide alors de me promener dans les rues alentours. L'architecture ressemble plus à un village de province qu'à la capitale. J'explore donc les rues, fait plusieurs fois le tour de mon quartier et fini par me retrouver à la campagne sur un chemin de gravier blanc. Je passe un petit pont de bois et une cote descendente puis j'arrive, alors que tombe la nuit, à l'orée d'un petit bois ou un groupe fait un feu.

Me revoilà encore sur le sentier, alors que re-tombe la nuit. La lune n'est plus qu'un mince croissant et j'ai de plus en plus de mal à voir devant moi. Je rencontre ici des gens qui se sont fait surprendre par la nuit tombante, et je les guide jusqu'à la foret et son camps, maintenant que je connais le chemin. Pour m'aider, alors qu'il fait nuit presque noire, j'utilise mon téléphone portable son faible faisceau lumineux. Je connais les obstacle et m'attend au pont et à la descente, qui ne me surprenent pas en pleine nuit. Nous arrivons au camp ou un feu et des victuailles nous attendent.

8.12.2007

Basquet atomique (11 au 12 aout, seconde partie)

Je suis avec quelques amis, nous écoutons du mauvais hiphop. D'autres déboulent et nous invitent au tournoi de basquet sur terrain irradié de la ville de Mourenx. Nous nous empressons d'y aller, et je garde précieusement dans ma main mon CD single de Corrona (the rythm of the night), bien décidé à l'écouter durant le match. Nous arrivons dans la ville et nous installons dans une petite maison en attendant le match. Nous continuons de parler hip hop en en écoutant. Je suis affalé dans un fauteil quand deux adolescentes vienntent s'assoir à coté de moi, se frottant. Mais je ne veux pas d'ennui, elles sont trop jeune et j'ignore leur attitude, m'endormant dans mon siege.
A mon reveil, une caméra suis les traces de cette compétition attypique. Je vois les images du tournoi, le sol est irradié et pour éviter les radiations néfastes, les gens mettent des poches plastiques autour de leur basquet. Il fait nuit, et la camera interview ensuite une jeune black gothique. Elle est en pleur et raconte son histoire, photos à l'appui, ou elle s'est faite avoir par un homme dont elle était amoureuse. Derriere elle, sur le versant d'une grande butte, un homme fait du tai-chi. Des qu'elle le voit, elle s'élance à sa rencontre comme une furie et le gifle violement. Elle s'écrit "c'est lui, c'est lui", et en effet, la photo qu'elle avait montré correspond avec la tete du bonhomme, qui s'en va vexé.
Je me dis que le pauvre homme aura désormais sa réputation entaché par une hystérique et la télévision.

Plastiques et dragons (11 au 12 Aout)

Je suis dans une sorte de monde d'héroic fantasy. Il y a une montagne énorme et maléfique qui sert de refuge au roi de ce monde. Quelqu'un hisse une baniere provocatrice sur cette montagne.

Le lendemain est jour de conseil exeptionel ou tous les chefs barabres sont réunis dans un amphithéatre pour trouver le traitre qui a osé cet affront. Il se trouve que c'est moi. Je saute au millieu de l'amphi et découvre que je suis un espece de tout petit dragon en plastique bleu aux formes tres ronde. Je réalise etre le fils du roi, le fils du dragon géant qui veille sur la montagne.
Les gens sont choqués et décident d'aller voir leur roi. Les voilà en route vers un petit village medieval. Nous sommes devant une sorte de porte fermé par une grosse grille de fer, qui protege une sorte de passerelle. Les gens présents tentent de l'ouvrir, bien que je leur dise que cela est inutile.
Arrivent ensuite mes frères. Ce sont aussi des petits dragons ronds en plastique, aux couleurs tres flashy. Ils sont sont une dizaine. Ils décident de savoir qui sera digne de succéder au roi, et se moquent de moi car je suis le plus faible.
Nous ouvrons la porte qui débouche sur une sorte de passerelle en plastique vert et jaune. Le premier se met en boule et se laisse rouler sur cette passerelle. La paserelle descend et remonte, est semée d'embuche et débouche dans la gueule et l'intestin du dragon géant-roi.
Il déboule en trombe mais tombe sur un obstacle, une sorte de dent posé au millieu du circuit.
Tous tentent leur chance et tous échouent, tombant de la passerelle, se heurtant à un obstacle ou finissant dans le ventre de leur pere. C'est à mon tour, je suis le dernier. Je me met moi aussi en boule et je roule. A la fin du parcours, avant de me faire dévorer par le dragon géant, je tombe lamentablement de la passerelle. Mais le dragon, tout content, me prend dans ses griffes en disant que je serai son hériter.

8.10.2007

Vautours

Je ne sais pas pourquoi, mais je n'arrive pas à me souvenir de mes reves en ce moment. Esperons que ça passe vite.
Je pense néamoins à mes fideles lecteurs et je vous offre une bribe du rêve de ce matin.


Je me prépare avec deux personnes pour aller aux fetes de Paris, comme si c'était les fetes d'un petit village. Nous avons un chapiteau géant soudé en guise de tente, mes collegues s'en occupent et le dessoudent pour le rentrer dans le coffre de notre petite voiture. Nous nous allongons ensuite dans le jardin. Il ne fait pas vraiment jour ni vraiment nuit, un ciel entre chien et loup, mais je ne sais pas si c'est le crepuscule ou l'aube.

En tout cas, des que je regarde le ciel, je vois un enorme cercle de vautour qui tournent au dessus de nos tetes. Ils sont tous à égale disance l'un de l'autre et avancent tous à la meme vitesse. Ce cercle est tres impressionant. Nous regardons les rapaces tournoyer au dessus de nos têtes et nous levons. Ils s'enfuitent alors de maniere désordonée et lente.

Quand je me reveille, l'image de ce cercle est tres nette dans mon esprit, véritablement imprimée.

7.30.2007

Bibles et abris atomiques (nuit du 24 juillet 2007)

Je vais voir deux amis répondant aux noms de Louis et Léa, et qui n'ont comme seul point commun la premiere lettre de leur prenom, ayant en plus le meme nom (et accessoirement les memes parents).
Je m'en vais donc leur annoncer que je pars un petit moment pour faire une experience de vie dans une famille quelque peu "prout-prout". La famille en question vient don me chercher et nous faisons connaissance. Il sont trois, un pere, une mere et un enfant. Mais au moment même ou je els vois je ne veux plus faire l'experience, il est cependant trop tard pour reculer. Nous partons donc en ville, je ne sais si c'est à l'opera ou au restaurant, mais la nuit tombée, nous allons chez eux.
Un message SMS d'une amie me parvient alors, s'écrivant au fur et à mesure sous mes yeux. Il m'annonce qu'Israel a utilisé une bombe atomique sur la Palestine. Au meme moment, je vois le pere rentrer dans la maison affolé, il a visiblement lui aussi appris la nouvelle.
Dehors, la nuit laisse luire une sorte de trou de jour, à l'horizon, et de ce point s'apporche un énorme nuage rouge. Le pere prend la situation en main et décide de nous cacher dans l'abris atomque de la maison. Mais il faut agir vite, le nuage rouge s'approche dangereusement à une vitesse folle.
L'abris est sous le salon. Mais pour l'atteindre il faut avant tout bouger tapis et fauteils. Nous nous y faufilons et voyons à travers le sol le toit et la grande verreire s'écrouler, au moment meme ou nous nous terrons dans l'abris. Nous voyons s'écrouler de gros blocs de pierres, soufflés aussi par l'explosion. Nous craignons que l'abris ne résiste à ces grosses chuttes mais il tient bon. Je recois alors un autre message de la meme amie.
Ce message m'annonce que le precedent était une blague. Il n'y avait pas de bombe atomique. La seule chose qu'Israel a envoyé en Palestine sont des bibles.

7.29.2007

Piano (sieste du 29 juillet)

Je suis tres fatigué, et apres une longue semaine extremement intense, je reviens quelques reves à raconter.

Je suis donc face à un piano droit. C'est un vieux piano poussiereux en bois sombre avec des touches en ivoire. Je l'identifie comme ayant été celui de ma grand mere. Il est completement désacordé. Je touche machinalement quelques touches, essayant de retrouver des sensations passées. Une fille qui passe me demande de lui jouer un morceau, ce que je refuse, car n'ayant pas jouer de piano depuis des années et celui ci étant particulierement désacordé.
Une fois partie, je poursuis néamoins mon exploration de l'instrument qui s'accorde petit a petit, au fur et à mesure de mes pianotement. J'observe aussi que le piano à de petites tirettes comme sur un orgue, et que selon le toucher de ma frappe, un tremolo s'enclanche. Je remarque alors une sorte de petite molette en bois sculpté. En la tournant progressivement, le piano perd ses intonations classiques pour devenir un piano jazz. Je trouve cette molette tres astucieuse me demandant pourquoi je ne l'avais encore jamais remarquée et pourquoi les frabricants ont abandonnés cette riche idée. Je continue de jouer, de mieux en mieux, et je remarque que le piano est sculpté de tout son corps de femmes aux longs cheveux superbes s'entremelant comme dans un tableau de Mucha, dans de grandes rosaces tres art nouveau. J'ai meme l'impression que ces entremelements apparaissent et se tissent au fur et à mesure que je joue.

Puis juste au milieu et au dessus du clavier apparait un trou béant qui revele les mécanisme et les laisse apparent. Certaines touchent qui fonctionnaient ne produisent alors plus aucun sons, et j'observe que les marteaux et les cordes ont disparues.
Je met ma main dans le trou et essaye de replacer marteaux et cordes. Mais des que je touche quelque chose de ce beau mécanisme, je le casse, comme si tout était fait de poussiere que le moindre effleurement ferait s'écrouler. Le piano fini par tomber en poussiere.

7.18.2007

Cyclopes et anglaises

Je suis à concert de robbie williams (ou un truc comme ça). Il fait de l'electro clash et chante en jouant de manière ultra destroy de le batterie. J'ai l'impression de donner des conseil pour certains breaks à robbie, et même d'être là pendant les repetitions, mais ce sentiment reste assez flou. Durant le concert en lui meme, tout le monde danse en couple de manière assez explicite. Beaucoup connaissent les chansons par coeur. De la mousse est envoyé dans la fosse, et seul les visages blancs des plus grands emmergent de cette mer de mousse pour chanter les chansons. C'est là que je réalise que tout le monde autour parle anglais.
Mon frere et moi essayons de draguer les anglaises environnantes --qui semblent peu farouches au vues de leurs danses. Mais si lui y arrive sans trop de difficulté, d'aucune ne veux m'approcher et et encore moins danser à mes cotés.

Mon frère ramène des amies anglaises avec lui. J'essaie toujours de les draguer, toujours sans aucun succès. J'essaie alors d'organiser une excursion à la rivière avec l'une d'elle, mais toutes refusent ma présence.
Nous allons ensuite dans la maison de mon père. Il y a un jeune anglais déprimé avec qui je commence à sympathiser. A l'extérieur, le ciel se couvre très rapidement. J'explique au jeune garçon que je peu lui faire un cd mp3 pour lui remonter le moral. Il accepte et un énorme tonnerre éclate. Je cours fermer la porte fenêtre. Mais un battant est soudain dans le jardin. Je veux aller le chercher et j'aperçois au bas du jardin une petite vieille, amie de ma grand mère, qui revient de la foret et lutte pour remonter la pente la séparant de la maison. Un éclair verdâtre éclate derrière elle, le ciel est aussi de cette couleur, avec des variantes jaunes et rouges très profondes.
Au moment ou je me saisi du battant de la porte fenêtre à l'extérieur, mon frère arrive avec une des précédentes anglaise qui se déclare maintenant la nouvelle Stéphanie de Monaco. JEecomprend qu'elle s'est mariée à mon frère. Elle ferme la porte fenêtre avec un vitrail et nous rentrons.

Alors que je m'apprete à préparer le cd mp3 de l'anglais, un espèce de vieillard à la peau saumâtre recouvert d'une capuche de moine me fait face. Un plan tres rapproché permet l'observation de son anatomy: il a un nez crochu et le mot "dentition" n'est plus pour lui qu'un lointain souvenir. Il parle lentement de choses incompréhensibles.
La camera fixe désormais son interlocuteur, face à lui. Un autre gros plan sur son visage révele un cyclope à la peau verte, aux traits informe, ou le visage cache derrieres ses bosses un sourire mal assuré qui traduit d'une certaine bêtise. Les deux monstre discutent. Tout d'un coup, la tête de l'homme à la capuche s'ouvre d'une trappe au dessus de la bouche, laissant apparaitre une petite maison moyen-ageuse, refuge d'un vert blanc. Ce vert parle et un trou noir beant s'ouvre à la place du nez du cyclope. L'homme à la cagoule se saisit du ver dans sa tete et le balance. Il ne referme pas sa tête et continue son incantation. Un second trou apparaît à coté du premier dans la tête du cyclope, mais celui ci est tout petit et vibre, comme si son visage était de mélasse. Il s'agrandit petit à petit, sous l'oeil apeuré du cyclope qui se met à crier. Ces deux trous dessinent les trous nasaux d'un squelette et vibrent, comme s'il étaient sur de l'eau. Nous demandons à l'homme encapuchonné d'arrêter, ce qu'il fait. Les trous se rebouchent immédiatement. Les deux monstres sont jetés par une meurtrier. Ils sont énervés, et au bas de la meurtrière d'où ils ont été jetés, se mettent à vociférer et lancent un vitrail.

Stargate vs jack kirby (nuit du 17 au 18 juillet, premiere partie)

La premiere partie de cette nuit est assez confuse, je ne me souviens que du glissement de mon reve vers l'univers star gate, apres qu'une femme me demande, à moi et à 2 hommes, d'enfiler des capotes blanches. Il y a trois tailles, une taille immense, une normale et une petite, je choisi la normale alors que les deux autres choisissent la taille immense et petite. De ce que je me souviens, je suis tres amis avec celui qui choisit la grande taille, meme si c'est un hybride moitié homme moitié chien.
Cependant, ces capotes font saigner les penis et je retire la mienne. Mais la femme avec qui nous somme a un bébé, je ne sais pas pourquoi (je ne sais meme pas si c'est lié à ces capotes). Nous décidons d'envoyer le bébé dans un autre monde par la star gate. Je lance le bébé a travers la porte en me disant que ça manque un peu de délicatesse, que j'aurais pu simplement le poser surle sol et le poussser un peu. Mais c'est fait. A ce moment surgit un monstre de la porte. C'est un vieux super vilain apparaissant dans le premier combat des 4 fantastiques contre galactus (version comics des années 60, je vous attreperais une image plus tard). Il bondit avec ses 8 affreux bras pour tout detruire autour de lui. Tout ce qu'il touche devient du vide. La fille attraoe une sorte de balle lui permetant de bondir d'univers en univers, mais la bete la poursuit et la rattrape. La scene se rejoue plusieurs fois en vain, la bete fini toujours par tout detruire.

7.17.2007

Hitler vs Superman

Je suis en pleine lecture du "Meilleur des mondes" de Huxley. Cette lecture a forcément influencé mon reve.

Je suis en effet dans un grand batiment administratif démesuré que seul un systeme totalitaire sait inventer, au style néo-classique de rigueur. Je suis un cadre moyen et je me promene sous les plafond gigantesques. Les hommes sont en costume-uniforme, les femmes habillés de maniere tres provocatrice. Les hommes les droguent pour abuser d'elles. J'en vois une partir sur l'épaule d'une autre tentant ainsi de proteger son amie. Je pince discretement les fesses de la fille droguée qui me répond d'un sourire en remontant sa jupe pour me montrer ses dessous tout autant provocateurs. Les voilà hors de ma vue.
Je me retrouve ensuite, je ne sais comment, dans une voiture avec un autre homme et une autre femme. Ils me tendent un déguisement de costume de superman de tres mauvaise qualité, très fin et dans un espece de lycra. J'ai un mal fou à l'enfiler et je pense au vrai superman qui le fait en moins d'une seconde. Une fois ce pénible travail effectué, je sors de la voiture, qui est sur un genre de carefour à la mode de Dubaï, démesuré et bordé de palmier. Il y a un complexe de cinema à coté, j'y vole pour me faire remarquer et fonce sur le batiment géant de l'administration qui est voisin. Il est recouvert de papier journal. Je me débarasse des gardes sur le toit et entreprend de defaire le papier journal, dévoilant ainsi le batiment de l'union europeene qu'il était auparavant. Un autre toit en forme de fronton grec classique révèle une fois découvert une partition de symphonie dissonante. La musique a été interdite, j'essaie donc de la jouer. Mais les partitions m'échapent des mains et tombent.
Je continue de decouvrir l'ouvrage pour faire s'ecrouler le systeme.

7.16.2007

Jeu vidéo et triche

Je suis dans l'univers des simpsons, policier, et il y a une taupe parmis notre brigade. On ne sait pas qui il est, mais rapidement je me rend compte que c'est mon collegue de patrouille. Je le suis alors, mais désincarné, et c'est sous forme de bande déssiné que je le vois trainer dans les quartiers chauds de la ville, tuant des irlandais saoul et des mafieux la nuit au nom de la police.
Une chef décide de changer les casiers de la caserne par de nouveaux casiers, mais d'en laisser tout de meme un défoncé; elle est persuadée que cette méthode démasquera notre zozo. Un autre chef a une méthode plus expéditive pour obtenir les aveux de notre taupe. Il réunit tous les policiers dans une espece d'arene taurine ronde et assez petite et demande aux policiers de courir dans le cercle. Il y a au millieu un espece de zorro masqué à cheval qui ne bouge pas. Il fait tourbilloner au dessus de sa tete une longue corde terminée d'une lourde masse qui assome les moins rapides. Les policiers K.O passent alors aux aveux. Mais le ripoux n'est pas là.


Me voilà au coeur d'un jeu vidéo. La présentation est simple, je suis sur une sorte de radeau de fortune et je dois éviter les obstacles.
Je suis sur une riviere verte, aux couleurs criardes et flashy, comme un jeu vidéo de la fin des années 90. La rivière est etroite, il y a des lianes, des bouches d'égout, des cascades à éviter. Cela est peu commode, j'y arrive après plusieurs essais et la cascade débouche dans un grand batiment gris, une sorte de lycée, ou je peux essayer d'ouvrir des portes et parler aux gens alors qu'ils me considerent comme un criminel en fuite. Mais je perd rapidement et n'arrive plus à revenir au lycée. Qu'à celà ne tienne, je décide d'éteindre l'ordinateur/console de jeu et de le rallumer brusquement. Je suis alors dans le jeu avec ma barque, mais il n'y a plus d'eau, d'obstacles ni de porte. Je peux librement explorer la riviere et le lycée. Il n'y a plus aucune couleur, tout est soit devenu tout gris, soit tout vert, du vert des fonds d'effet speciaux, traversé de lignes blanches horizontales et verticales dessinant le relief. Je suis au coeur du jeu, mais n'y suis plus vraiment non plus.

7.15.2007

Hand ball 3000 (nuit du 14 à 15 juillet 2007)

Petit rêve assez banal cette nuit.
Je rentre à l'université avec un ami dénomé augustin. C'est une grande batisse de style gothique flamboyant, assez spéctaculaire. Cet ami veut s'inscrire à un club de football, et je m'inscrit pour ma part à un club de handball.
C'est une équipe mixte, mais je ne retrouve plus mes chaussures stan smith à scratch, il n'y a que celles à lacet. Tant pis, je me jette sur le terrain. Mais je suis en retard, cela ne plait pas au coatch qui refuse de m'entrainer. Je regarde les autres s'entrainer et faire des tours de terrain. L'entraineur m'accepte finalement et je commence à courrir. Contrairement aux autres je ne suis pas du tout essouflé. Mais l'entraineur m'entraine à part, ce qui fait ricaner une grosse fille. Je cours, elle cour en face de moi. Sans la voir, je lui rentre dedans, ce qui semble plaire à l'entraineur qui m'integre vraiment dans l'équipe.

7.14.2007

L'apocalypse par M. Bignan (nuit du 13 au 14 juillet 2007)

Me voilà avec ma famille dans une thalassothérpie. Nous nous baignons dans un grand batiment au plafond très haut, une piscine olympique au millieu, de petits bassins environant. L'ambiance y est legere et détendue.
Tout d'un coup un tremblement de terre monstrueux se fait sentir. Tous les nageurs se ruent paniqués au millieu du grand bassin, esperant ainsi etre épargné d'une éventuelle chute d'objet, meme si celà me semble ridicule. La secousse semble durer une éterité.
Une fois passé le seisme surgit M. Bignan (au college, ce petit bonhomme fut un professeur de technologie tres strict, à l'image de sa petite moustache certainenement inchangée depuis son service militaire). Il a tôt fait de nous annoncer que la fin du monde est proche, une véritable apocalypse se prépare, ou nos vies ne seront plus jamais les mêmes. Guerres planétaire à base de technologies cachées, de robots géants destructeurs, d'armes bactériologiques et meme une invasion extraterrestre sont le programme de ses réjouissances. Nous sommes priés d'abandonner tous nos projets de vie et de mourir en silence.

Cependant, M. Bignan promet aux plus fort de survivre en passant un test. Dans la thalasso, il récupere un espece de vidéoprojecteur qui pose des questions aux fur et à mesure à tous les volontaires. Ce sont des questions de culture générale, bien souvent sur la bible et je me dis "facile". Mon tour venu, j'ai droit à des question de geek sur la porté des robots tueurs dans star wars et la puissance de certains ordinateurs. J'échoue lamentablement et regarde mes amis et frere s'armer fierement comme des soldats.

Avec ma mere, nous décidons de partir. Le ciel est tout gris, sans aucun bruit, ce qui est assez flippant. Il y a deja des batiments en ruine, et des robots géants surarmés sortis de film de science fiction. Nous prenons une vieille volvo break, y cachons mon petit frere et fuyons en essayant d'éviter les patrouilles énemies.
En revenant dans notre maison, un général etranger nous intercepte, nous révelant la superchie de l'affaire Bignan, agitateur patenté qui n'en est pas à son premier coup d'essai et vient d'etre neutralisé. Nous sortons le petit de sa cachette. Tout est bien qui finit bien.

7.13.2007

Treking autour du monde (nuit du 3 Mai 2007)

Je suis avec mon pere face à un magnifique chateau cathare à moitié en ruine, composé de belles voutes romanes et de dependances magnifiques.

Nous sommes en fait sur un chemin sacré et continuons notre route sur les cretes des pyrénées. Un peu plus loin, ma carte m'indique que la pointe de l'inde est face à moi, direction plein sud. Je scrute en face l'ocean, regarde en bas, une sorte de pente vertignineuse plongeant dans l'ocean. Je tombe, mais je réussi à me rattraper et remonter. Nous décidons alors de faire le tour du monde à pied en suivant le cercle polaire. Nous continouons notre route sur les cretes ennéigées. Nous passons en amérique, ou le paysage tout plat contraste avec celui montagneux ou nous étions. Nous marchons jusqu'au détroit de béring. Nous tentons de le traverser, mais nous avons une couille.

Nous sommes dans l'eau et appelons à l'aide des pinguins sur un radeau pneumatique. Ils nous aident et tentent de nous faire passer en asie, ou nous voyons se redresser les immenses montagnes. Mais il y a une sorte de palier, un piege a franchir assez difficile pour mettre pied a terre. Je saute, et je rate, tombant dans l'eau. J'arrive à remonter un peu plus loin. Quand je reviens, je vois mon pere qui hurle, il a le bras gauche sectionné net au niveau de l'épaule. J'apelle l'ambassade de france en secours depuis une cabine téléphonique et nous partons en alaska avec les pinguins. Ils nous acceuillent avec des inuits.

Mon pere devient tyranique avec les pinguins. Il s'est confectionné une sorte de siège en plastique avec une bassine, et la toujours collé au fesses, meme debout. Il y sequestre dessous un pinguins et va jouer au poker en buvant du whiski avec les inuits. Il est devenu tres amer. Un jour, un gros cargo se pose, ce sont les secours. Je me precipite vers eux, et il font style de parler en quebecois pour nous faire une blague. Il sont toute une troupe sympatique, mais mon pere refuse de repartir avec eux et veux aller en argentine.

Nous prenons une voiture direction le sud et nos roulons des jours et des jours. A un moment, les paneau sont en espagnols et salvador se met a chanter dans toutes les radios. Je me dis que nous sommes bientot arrivés.

Présentation

Il faut le faire, s'adresser directement à ses lecteurs en les regardants dans les yeux. Enfin en un sens. Profitez en bien, ce sera certainement la seule et derniere fois.
J'ai eu l'idée de ce blog pour parler de mes reves. Les noter quelque part et les faire partager. Car un reve, c'est un voyage, drole, angoissant, rassurant, imprévisible. Et Comme pour un voyage, on aime prendre des photos, les montrer à ses amis. Je voudrais faire chaque article comme un instantané, garder une trace ou l'on peut facilement revenir.
Je ne compte pas parler de moi, et mon identité n'a aucune importance. Je serais lapin3000, le lapin blanc qui vous ouvre les portes de son inconscient; 3000 parce qu'il est tellement moderne ce lapin...

Enfin, je voulais cette petite presentation pour prevenir que je ne me drogue pas, ne fume ni ne bois avant de dormir. Mes reves sont certifiés bio. Et s'ils ne l'étaient pas, cela serait signalé. J'espere sincerement qu'il ne sera pas necessaire de revenir sur ce point.

Voilà maintenant les recomendations faites. Vous savez ou sont les sorties de secours et les gilets de sauvetage. Je vous souhaite un agréable voyage.