Je suis sur un scooter dans les rues de Pau. Je vois surplombant la ville une énorme église baroque et je décide d'aller y jeter un oeil. Je grimpe donc dans la ville, bien plus dense qu'elle ne l'est en réalité. Une fois arrivé, je peux admirer les vitraux et les tours en gothique flamboyant. Mais il y a a coté un zoo, et un alors que je suis sur ma mobylette un ours polaire s'approche. Il me fait peur et je démarre en trombe. Mais comme un chien, ce démarrage l'excite et il se lance à ma poursuite. Je me vois alors d'en haut, avec l'ours à mes basques, en train d'essayer de me frayer un passage entre les voitures pour ne pas que l'ours me dévore. Je réaliste que je suis habillé en militaire, avec un gros sac kaki, et que même la mobylette a les couleurs de l'armée.
Arrivé dans un tunnel, pour me débarrasser de l'animal une bonne fois pour toute, je décide de m'envoler. Je me vois alors regardant l'ours qui ne comprend pas depuis les airs et je continu mon chemin. Je voltige dans les courants sur ma mobylette et j'aperçois une grande bâtisse entourée de haut murs.
Je décide d'aller y jeter un oeil et j'atterris littéralement au milieux d'une fete. Il y a des militaires partout, ça boit du champagne et les gens sont un peu éméché. Surgit alors notre Président, Monsieur Sarkozy, ou du moins la caricature de Sarkozy à la manière de Charlie Hebdo. Ce Sarkozy cartoon est relativement ivre et vient me serrer la main avec grand fracas et familiarité. Quand il me serre la main, il se sert de son majeur pour me chatouiller la paume, comme le ferai les homos selon la légende. Mais je pense à ce moment là qu'il doit s'agir d'un code secret franc-maçon, voire même la fameuse poignet de main secrette franc-maçonne. Notre honoré président s'en va et je me retrouve à discuter avec quelques trés jeunes hauts gradés, qui semblent plus porter l'uniforme et les galons par déguisement.
Je décide de partir et je me retrouve chez un ami, rivé devant World of Warcraft. Pour se donner du courage, il sniffe un énorme rail de coke quand sa mère débarque dans sa chambre. Elle est habillée de fourrures et passablement éméchée. Elle vient de la même fête que moi.
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