Puff Daddy domine le monde.
Il a mis au point son plan machiavélique; désormais tout le monde est à sa botte. Mais je ne le sais pas encore.
Me voilà donc avec des amis, et j'en fais l'amère expérience. Ce ne sont que des zombies à la solde du rappeur. Je pars donc me cacher dans le chenil de Mont, et des motos passent devant devant lors de rondes. Des chiens entrent dans le chenil, nous discutons un peu, mais ils sont un peu bête et tentent d'ouvrir le chenil avec leur pattes malhabiles. Un garde nous vois et je tente de m'enfuir discrètement, mais il y a une récéption à quelques metres, et je m'enfuis en fracs. Je tente d'escalader le murs, en vain. Quelqu'un m'ouvre alors une porte dans le murs, et me voilà de l'autre coté. Mais je dois quand meme fuir. Il y a en face un grand grillage que j'escalade, et atteri sur un cour de tennis bleu bondé.
Je me defais de mes ravisseurs.
Me voilà ensuite à Limoges, chez un ami. Malheureusement, il est aussi sous l'emprise de Puff Daddy, qui est là en personne avec une garde importante. Il me montre un téléphone motorola blanc immaculé, sur laquelle passe un petit film d'animation en image par image avec des légos. Ce sont ces films de légo qui contrôlent les gens. Puff daddy s'en va, et je discute avec les gens présents. Ils sont un peu terrifiés par le rappeur, mais sont tres agréable. Je parle avec une cuisine une sorte de chocolat au lait géant, dans lequel elle rajoute des poivrons, piments, et tomates. Le mélange se revele très bon.
Je me rend compte que puff daddy a oublié son téléphone portable. Je m'en empare et prend des photos pour désintoxiquer les gens. je finis par casser le téléphone portable qui se brise en miette.
Les gens sont content d'être libres. On me propose un bonbon que j'accepte, mais l'avale de travers. Je crache une bonne partie qui se brise en miette sur le sol. Mais un morceau reste coincé au fond de ma gorge. Je le sens qui gratte, et bois un verre d'eau. Mais le morceau de bonbon inverse le rôle de la trachée et oesophage. Ce qui fais que je sens un liquide frais entrer dans mes poumons. Je panique, et pars à l'hôpital.
Mais l'hopital est pleins de gardes de puff daddy. J'apprend que c'était un hôpital brésilien en faillite qui a été racheté par le rappeur.
Je reste sur le parking, ou un énorme doberman monte sur un lampadaire.
9.30.2007
9.29.2007
Je suis à Bordeaux, dans un lieux isolé, ou se dresse un énorme batiment de type bauhaus d'un blanc étincellant. C'est l'école d'architecture de la ville et c'est aujourd'hui le concours. Je me retrouve donc avec quelques étudiants à l'interieur, et nous nous perdons dans des couloirs immenses et labyrinthiques.
Mais nous avons rendez vous dehors. Le directeur est là, et nous annonce que la premiere épreuve consiste à attraper un pigeon à la main et se retrouver dans l jardin de derriere. Tout le monde s'en va, mais je reste pour flaner et me transforme en une sorte de culboto minuscule. Un pigeon arrive vers moi et m'ennuit. J'essaie de rejoindre l'école, mais je ne suis pas assez rapide, il me pousse dans tous les sens. Finalement, je reprend ma forme humaine et m'empare de lui. Je cours ensuite vers le batiment et tente de trouve la piece. Je passe bien devant un jardin, mais il est dégueulasse. Je continue monc chemin, croise d'autres personnes de l'école avec des uniforme tres marine 19e et rococo. Puis, je trouve un plan de sécurité de l'école et grace à cela trouve le jardin. Je suis le premier arrivé. Mon pigeon tire une drole d etete. Il se convulse dans mesmains, tente de sortir et vomi une sorte de blanc. Je suis soulagé de le laisser partir une fois l'épreuve terminée.
Le directeur reviens et nous donne une autre épreuve assez simple d'orientation.
Viens la troisieme: il dit avec un sourire qu'il va faloir courir et trouver la salle 220. En effet, la salle 220 n'est nulle part indiqué dans les plans. Avec d'autres eleves nous reflechissons. Je pense qu'il s'agit d'un code, et qu'en le décorticant nous trouverons le rai numéro. Mais ça ne donne rien. Sur le toit, deux personnes crient et nous annoncent avoir trouvé la salle.
Je comprend qu'en effet je dois courir et me met à courir dans le batiment pour monter. Je corise un second étudiant cours lui aussi, et je me jiont à lui. Nous arrivons au sommet d'une tourelle, puis il y a une petite échelle étroite. Mon camarade se saisit d'une pierre ronde e je monte l'échelle. Une fois la tete dans la piece, les deux en hauts rabattent une planche de bois vers moi pour me décapiter, et mon collegue leur lance la piere dessus, qui les immobilise dessuite. Nous montons tous deux dans la salle 220.
Les autres arrivent à leur tour avec fracas. Puis le directeur nous invite à un brunch dans le jardin pour feter la fin des épreuve. Je suis fatigué, et il me prend à part pour m'expliquer que l'art n'est que mélange et évolution.
Je retourne sur le parking ou arrive mes parents. Je retrouve mon frere et mon cousin qui ont passés les epreuves avec moi. La mes parents m'annonce que meme si je suis pris, je dois laisser la place à mon frere car je ne suis pas assez beau. Je suis effondré, j'ai tout donné mais je ne suis pas assez beau. Je refuse, ils insistent, et le directeur arrive. Finalement, c'est JD qui est pris, je me retrouve sur le carreau, effondré.
Mais nous avons rendez vous dehors. Le directeur est là, et nous annonce que la premiere épreuve consiste à attraper un pigeon à la main et se retrouver dans l jardin de derriere. Tout le monde s'en va, mais je reste pour flaner et me transforme en une sorte de culboto minuscule. Un pigeon arrive vers moi et m'ennuit. J'essaie de rejoindre l'école, mais je ne suis pas assez rapide, il me pousse dans tous les sens. Finalement, je reprend ma forme humaine et m'empare de lui. Je cours ensuite vers le batiment et tente de trouve la piece. Je passe bien devant un jardin, mais il est dégueulasse. Je continue monc chemin, croise d'autres personnes de l'école avec des uniforme tres marine 19e et rococo. Puis, je trouve un plan de sécurité de l'école et grace à cela trouve le jardin. Je suis le premier arrivé. Mon pigeon tire une drole d etete. Il se convulse dans mesmains, tente de sortir et vomi une sorte de blanc. Je suis soulagé de le laisser partir une fois l'épreuve terminée.
Le directeur reviens et nous donne une autre épreuve assez simple d'orientation.
Viens la troisieme: il dit avec un sourire qu'il va faloir courir et trouver la salle 220. En effet, la salle 220 n'est nulle part indiqué dans les plans. Avec d'autres eleves nous reflechissons. Je pense qu'il s'agit d'un code, et qu'en le décorticant nous trouverons le rai numéro. Mais ça ne donne rien. Sur le toit, deux personnes crient et nous annoncent avoir trouvé la salle.
Je comprend qu'en effet je dois courir et me met à courir dans le batiment pour monter. Je corise un second étudiant cours lui aussi, et je me jiont à lui. Nous arrivons au sommet d'une tourelle, puis il y a une petite échelle étroite. Mon camarade se saisit d'une pierre ronde e je monte l'échelle. Une fois la tete dans la piece, les deux en hauts rabattent une planche de bois vers moi pour me décapiter, et mon collegue leur lance la piere dessus, qui les immobilise dessuite. Nous montons tous deux dans la salle 220.
Les autres arrivent à leur tour avec fracas. Puis le directeur nous invite à un brunch dans le jardin pour feter la fin des épreuve. Je suis fatigué, et il me prend à part pour m'expliquer que l'art n'est que mélange et évolution.
Je retourne sur le parking ou arrive mes parents. Je retrouve mon frere et mon cousin qui ont passés les epreuves avec moi. La mes parents m'annonce que meme si je suis pris, je dois laisser la place à mon frere car je ne suis pas assez beau. Je suis effondré, j'ai tout donné mais je ne suis pas assez beau. Je refuse, ils insistent, et le directeur arrive. Finalement, c'est JD qui est pris, je me retrouve sur le carreau, effondré.
9.25.2007
Catch dans la jungle
Je suis dans la jungle. Je cours. Il y a des avions avec des scratch comme sur mes stan smith qui attaquent. Et ce sont mes mains version géante qui tiennent les avions.
Pourtant je cours, et j'arrive dans une sorte de clairière avec d'autres survivants à la kolanta.
Nous essayons d'organiser une vie de camps. Nous avons des vélos, nous en sommes tres content, mais rapidement, ils se dégonflent tous et il devient difficile voire pénible de les utiliser.
Je reçois également une guitare venue du ciel, qui me ravit. Il y a un grand catcheur tres gentil dans un coin. Il est gentil, mais je me méfie de lui, quelque chose me déplaît dans son attitude.
Je dois m'éloigner, et confie donc ma guitare à paméla anderson qui regarde la TV.
A mon retour, sa case n'est qui ruine. Et le catcheur est devenu dément. Je suis tres mécontant, ma guitare a disparut, et je veux la récuperer. Je me bat donc avec cette brute. Il est tres grand et tres fort. Je sors une sorte de sèche cheveux futuriste qui balance des rafales de vent et lui tire dessus avec. Quand je met ma main devant, je ne ressent qu'un leger vent, mais dirigé sur lui, celà le blesse profondement. Ses habits se déchirent et il saigne.
Interlude. Un commandant de 5 catcheurs pénetre dans une sorte de ruine de cathédrale gothique. Tout est sombre. Les 5 catcheurs sont habillés de longues tuniques de cuirs noir, blanches ou rouges. Ils ont aussi d'épais masques de cuirs recouvrant leurs visage. L'un d'eux à le masque de spawn, l'autre une croix blanche en plein millieu, un autre une croix de fer ou un masque de musicien de kiss. Leur chef se mare, se tord de rire à en perdre haleine meme. On n'entend que son rire tonitruant dans les ruines du bâtiment.
Les 5 sont collés au murs et avancent avec méfiance. On dirait une sorte de caricature de commando, s'efforçant d'être discret malgres le rire affreux du chef, qui tripote tout ce qu'il trouve: un vieux chandelier, puis un vieux piano ou plusieurs catcheurs se mettent à jouer ensemble une mélodie déglinguée. Puis ils pénetrent dans la pièce principale ou le grand vilain les attend dans la pénombre.
Je reviens dans le premier rêve: je suis moi aussi dans la pénombre de cette piece. Le grand méchant me fait face en me souriant. Il m'annonce que je ne peux me débarrasser de tous ses héraut. Il en appelle d'ailleurs un autre. Il est gigantesque, habillé de cuir et de fourrure. Et il a une sourte de rictus qui bloque son visage en une grimace ricanante. Il a des clous sur le visage, on le croirait droit sortit d'un comics.
Je me réveille et me lève tout exité. Je cours raconter ce rêve etrange à un ami. Il est dans une sorte de couloir blanc. Du mon s'affaire pour monter des étageres. Je monte sur un tabouret pour etre à sa hauteur et lui fait noter mon aventure. Je gène les bonnes femmes qui montent les meubles, mais insiste pour qu'il note ça sur une enveloppe, puis une autre et encore une autre. Il semble être agacé, mais je suis content d'avoir noté ce reve étrange.
Pourtant je cours, et j'arrive dans une sorte de clairière avec d'autres survivants à la kolanta.
Nous essayons d'organiser une vie de camps. Nous avons des vélos, nous en sommes tres content, mais rapidement, ils se dégonflent tous et il devient difficile voire pénible de les utiliser.
Je reçois également une guitare venue du ciel, qui me ravit. Il y a un grand catcheur tres gentil dans un coin. Il est gentil, mais je me méfie de lui, quelque chose me déplaît dans son attitude.
Je dois m'éloigner, et confie donc ma guitare à paméla anderson qui regarde la TV.
A mon retour, sa case n'est qui ruine. Et le catcheur est devenu dément. Je suis tres mécontant, ma guitare a disparut, et je veux la récuperer. Je me bat donc avec cette brute. Il est tres grand et tres fort. Je sors une sorte de sèche cheveux futuriste qui balance des rafales de vent et lui tire dessus avec. Quand je met ma main devant, je ne ressent qu'un leger vent, mais dirigé sur lui, celà le blesse profondement. Ses habits se déchirent et il saigne.
Interlude. Un commandant de 5 catcheurs pénetre dans une sorte de ruine de cathédrale gothique. Tout est sombre. Les 5 catcheurs sont habillés de longues tuniques de cuirs noir, blanches ou rouges. Ils ont aussi d'épais masques de cuirs recouvrant leurs visage. L'un d'eux à le masque de spawn, l'autre une croix blanche en plein millieu, un autre une croix de fer ou un masque de musicien de kiss. Leur chef se mare, se tord de rire à en perdre haleine meme. On n'entend que son rire tonitruant dans les ruines du bâtiment.
Les 5 sont collés au murs et avancent avec méfiance. On dirait une sorte de caricature de commando, s'efforçant d'être discret malgres le rire affreux du chef, qui tripote tout ce qu'il trouve: un vieux chandelier, puis un vieux piano ou plusieurs catcheurs se mettent à jouer ensemble une mélodie déglinguée. Puis ils pénetrent dans la pièce principale ou le grand vilain les attend dans la pénombre.
Je reviens dans le premier rêve: je suis moi aussi dans la pénombre de cette piece. Le grand méchant me fait face en me souriant. Il m'annonce que je ne peux me débarrasser de tous ses héraut. Il en appelle d'ailleurs un autre. Il est gigantesque, habillé de cuir et de fourrure. Et il a une sourte de rictus qui bloque son visage en une grimace ricanante. Il a des clous sur le visage, on le croirait droit sortit d'un comics.
Je me réveille et me lève tout exité. Je cours raconter ce rêve etrange à un ami. Il est dans une sorte de couloir blanc. Du mon s'affaire pour monter des étageres. Je monte sur un tabouret pour etre à sa hauteur et lui fait noter mon aventure. Je gène les bonnes femmes qui montent les meubles, mais insiste pour qu'il note ça sur une enveloppe, puis une autre et encore une autre. Il semble être agacé, mais je suis content d'avoir noté ce reve étrange.
9.09.2007
Le bus de la mort (Nuit du samedi 8 au dimanche 9)
Je suis dans un bus. Il emprunte des routes sinueuses. Il y a beaucoup d'amis à moi dans ce bus; Claire, Nicolas, Fabien, Léa et Nono. Nico et fabien sont au fond du bus. Je discute alternativement avec tout le monde. Nono me demande de lui prêter des cd. Je regarde dans mon sac, n'en voit que peut. Pourtant, au fur et à mesure que je regarde je semble en trouver de plus en plus. Ce sont des cd, dvd ou cd-rom. Certains cd sont sur des sortes de sovles en plastiques cassés initialement destinés à être glissés dans un classeurs. Mes CD ne ne lui conviennent guerre. Je n'en ai que peu de biens. Nous regardons ensuite mes DVD. Encore une fois, cela ne semble l'intéresser. Il y a notamment la trilogie des 7 samouraïs (??) que je lui conseille, étant sur que cela lui plaira. Elle refuse poliment, m'expliquant qu'elle n'a pas aimé le premier, le trouvant un peu surfait.
Je ne trouve pas mes bons DVD.
Je retrouve cependant dans le fond du sac de vieux jeu de playstation 1 que louis semble m'avoir donné (dans un rêve précédant?). Ils semblent apparaître par myriades et j'ai l'impression que mon sac en est rempli.
Elle fini par descendre à un arrêt, à gouze j'ai l'impression. Le voyage continu dans des routes toujours plus sinueuses et semblant monter. Le chauffeur laisse sa place à un jeune homme. Il semble apprenti conducteur de bus et se met à conduire le véhicule de manière assez chaotique. Il continue sa conduite, s'améliorant. Pourtant, il frôle régulièrement de lancer le bus dans le ravin adjacent. Alors que le bus roule encore, il se lève pour expliquer son cas et sa conduite douteuse, nous expliquant qu'il n'est pas dans son intérêt de nous faire mourir, car lui aussi mourrait; de plus, ce serait au chauffeur officiel d'assumer l'entière responsabilité de la chute du bus.
Je suis à ce moment assis avec Léa. Elle me propose de passer le week-end chez elle. C'est à ce moment que je percute que je ne sais pas pourquoi je suis dans ce bus, que je ne sais même pas ou il va. Je veux savoir si cela ne la dérangera pas, et si ça ne dérangera pas non plus ses parents. Elle m'explique que non et fini par accepter. Nous continuons de discuter et arrivons chez elle. Je descend du bus et salue tout le monde. Il y a une grande batisse, surement un vielle ferme rénovée et de grands murs contruits dans la boue.
Mais à ce moment je réalise que j'ai oublié mon sac dans le bus. Je lui cours après espérant qu'il me voit, mais le chauffeur débutant ne semble pas me voir et disparaît dans un virage.
Une jolie dame entre deux âge présente me propose de rattraper le bus pour récupérer mon bagage.
Me voilà dans la voiture rouge, et je remarque immédiatement une étrangeté. Entre le capot et pare brise, les angles semblent se rejoindre, un peu à la manière d'une guêpe dont le corps l'abdomen est séparé du reste du corps. La prononciation n'est pas aussi marquée évidement, mais cela m'intrigue. La dame m'explique que c'est très fréquent dans la région, que cela permet par les rétroviseurs latéraux de voir l'avant du véhicule. En effet, en regardant sur le rétroviseur de la portière, on distingue nettement le pare choc. Nous roulons sur une grande route rapide, bien différente de l'étroite route précédente. Il y a d'ailleurs une circulation assez dense.
Je pense alors à claire, dans le bus, qui pourrait sûrement récupérer mon sac. Je l'appelle, mais elle est malheureusement déjà descendue à son arrêt.
Nous continuons donc la route, et j'explique à ma chauffeuse que je doute de l'utilité réelle du système particulier de ce véhicule, et qu'il semble fort rare.
A cet instant précis, nous croisons une voiture identique en tout point à la notre, ce qui me cloue le bec.
Je remarque qu'en fait, cette amélioration est due à une sorte de petite remorque sur la voiture. La voiture est en effet posée telle quelle sur une sorte de petite plate-forme avec 4 roues. Les 4 roues initiales de la voiture sont toujours présente et ne roulent pas. Par je ne sais quel système, elles ne tournent pas non plus lorsque l'on tourne le volant. Elles restent immobiles à tout instant.
Je ne trouve pas mes bons DVD.
Je retrouve cependant dans le fond du sac de vieux jeu de playstation 1 que louis semble m'avoir donné (dans un rêve précédant?). Ils semblent apparaître par myriades et j'ai l'impression que mon sac en est rempli.
Elle fini par descendre à un arrêt, à gouze j'ai l'impression. Le voyage continu dans des routes toujours plus sinueuses et semblant monter. Le chauffeur laisse sa place à un jeune homme. Il semble apprenti conducteur de bus et se met à conduire le véhicule de manière assez chaotique. Il continue sa conduite, s'améliorant. Pourtant, il frôle régulièrement de lancer le bus dans le ravin adjacent. Alors que le bus roule encore, il se lève pour expliquer son cas et sa conduite douteuse, nous expliquant qu'il n'est pas dans son intérêt de nous faire mourir, car lui aussi mourrait; de plus, ce serait au chauffeur officiel d'assumer l'entière responsabilité de la chute du bus.
Je suis à ce moment assis avec Léa. Elle me propose de passer le week-end chez elle. C'est à ce moment que je percute que je ne sais pas pourquoi je suis dans ce bus, que je ne sais même pas ou il va. Je veux savoir si cela ne la dérangera pas, et si ça ne dérangera pas non plus ses parents. Elle m'explique que non et fini par accepter. Nous continuons de discuter et arrivons chez elle. Je descend du bus et salue tout le monde. Il y a une grande batisse, surement un vielle ferme rénovée et de grands murs contruits dans la boue.
Mais à ce moment je réalise que j'ai oublié mon sac dans le bus. Je lui cours après espérant qu'il me voit, mais le chauffeur débutant ne semble pas me voir et disparaît dans un virage.
Une jolie dame entre deux âge présente me propose de rattraper le bus pour récupérer mon bagage.
Me voilà dans la voiture rouge, et je remarque immédiatement une étrangeté. Entre le capot et pare brise, les angles semblent se rejoindre, un peu à la manière d'une guêpe dont le corps l'abdomen est séparé du reste du corps. La prononciation n'est pas aussi marquée évidement, mais cela m'intrigue. La dame m'explique que c'est très fréquent dans la région, que cela permet par les rétroviseurs latéraux de voir l'avant du véhicule. En effet, en regardant sur le rétroviseur de la portière, on distingue nettement le pare choc. Nous roulons sur une grande route rapide, bien différente de l'étroite route précédente. Il y a d'ailleurs une circulation assez dense.
Je pense alors à claire, dans le bus, qui pourrait sûrement récupérer mon sac. Je l'appelle, mais elle est malheureusement déjà descendue à son arrêt.
Nous continuons donc la route, et j'explique à ma chauffeuse que je doute de l'utilité réelle du système particulier de ce véhicule, et qu'il semble fort rare.
A cet instant précis, nous croisons une voiture identique en tout point à la notre, ce qui me cloue le bec.
Je remarque qu'en fait, cette amélioration est due à une sorte de petite remorque sur la voiture. La voiture est en effet posée telle quelle sur une sorte de petite plate-forme avec 4 roues. Les 4 roues initiales de la voiture sont toujours présente et ne roulent pas. Par je ne sais quel système, elles ne tournent pas non plus lorsque l'on tourne le volant. Elles restent immobiles à tout instant.
Hitler et mie de pain(Nuit du vendredi au samedi 8 septembre 2007)
Rêve très confus.
Les super héros sont interdits par Nicolas sSarkozy. Malheureusement, je fais parti d'une équipe de 7 et nous sommes donc en état d'arrestation.
Le rêve commence, nous somme dans un vieux quartier de paris, très typé Haussman et XIXe siècle. Une colonne de CRS arrive en trombe avec de vieux canons de la seconde guerre mondiale remorqués à leurs camions. Ils lancent alors une pluie d'obus sur les cités du 93 sous nos yeux impuissants.
Nous devons rentrer dans nos quartiers, mais discrètement. Nous montons dans notre calèche, et c'est Adolf Hitler, ou du moins un métamorphe de notre groupe, qui prend les rennes du véhicule. Je me dis qu'avoir Adlof Hitler comme cocher n'est pas la chose la plus discrète. Un nuage de brouillard se forme alors autour de nous pour nous pour nous permettre de changer discrètement de chauffeur. Pinnochio prend alors la place d'Adolf comme cocher (sic).
Nous voilà dans notre QG, qui est la maison de mon et sa grange avant qu'elle ne soit refaite, c'est à dire, à l'entrée principale. Les murs sont décorés selon un manière très religieuse et XVIIe siècle, pleins de marbres blancs, de peintures merveilleuses. Il y a cependant des problème avec les tuyaux d'aérations qui traverse la salle de manière anarchique. Il faut grimper et les replacer. Pour cela, il faut emboîter des morceaux de mie de pain les uns dans les autres.
C'est une opération très délicate qui mérite une grande réflexion et une grande dextérité.
Les super héros sont interdits par Nicolas sSarkozy. Malheureusement, je fais parti d'une équipe de 7 et nous sommes donc en état d'arrestation.
Le rêve commence, nous somme dans un vieux quartier de paris, très typé Haussman et XIXe siècle. Une colonne de CRS arrive en trombe avec de vieux canons de la seconde guerre mondiale remorqués à leurs camions. Ils lancent alors une pluie d'obus sur les cités du 93 sous nos yeux impuissants.
Nous devons rentrer dans nos quartiers, mais discrètement. Nous montons dans notre calèche, et c'est Adolf Hitler, ou du moins un métamorphe de notre groupe, qui prend les rennes du véhicule. Je me dis qu'avoir Adlof Hitler comme cocher n'est pas la chose la plus discrète. Un nuage de brouillard se forme alors autour de nous pour nous pour nous permettre de changer discrètement de chauffeur. Pinnochio prend alors la place d'Adolf comme cocher (sic).
Nous voilà dans notre QG, qui est la maison de mon et sa grange avant qu'elle ne soit refaite, c'est à dire, à l'entrée principale. Les murs sont décorés selon un manière très religieuse et XVIIe siècle, pleins de marbres blancs, de peintures merveilleuses. Il y a cependant des problème avec les tuyaux d'aérations qui traverse la salle de manière anarchique. Il faut grimper et les replacer. Pour cela, il faut emboîter des morceaux de mie de pain les uns dans les autres.
C'est une opération très délicate qui mérite une grande réflexion et une grande dextérité.
Pau, ville hiphop catholique (Vendredi 7 septembre)
Je suis dans une voiture à destination de Pau.
Je feuillète un magasine traitants des nouveautés CD. Il y a pas ma de CD en hiphop qui semble intéressants, notamment un nouveau CD du club des 7 (dont je peux écouter un extrait) et une critique du dernier album révolutionnaire de Jean-Michel Jarre, ou les rythmes sont fait selon un nouvelle méthode japonaise à base de scratch et de bidouillages sonore. Je me dis que je me les achèterai bien.
Je descend ensuite, je suis à Billere, du moins dans la périphérie de Pau. Il peut des cordes et je vois qu'un concert du club des 7 est prévus dans une église. Il y a deux grandes églises. Je passe à la première qui semble fermée. La seconde à un forme bizarre, qui n'est pas vraiment en forme de croix. L'entrée est situé dans un endroit incongrus du bâtiment. Il y a une grande façade en verre avec une rosace en pierre au milieu.
Le concert ne semble pas là non plus. Je continue ma route sous la pluie et me fait arreter par un facteur. Il me charge de dire au curé de pau que les kilos d'oranges qu'il a commandés arriveront bientot et qu'il doit se tenir pret à les recevoir.
Je continue ma route vers pau et passe instantanément au centre ville. Je me dis que le trajet me semblait pourtant beaucoup plus lointain.
Il pleut toujours et je croise 2 gamins expliquant qu'ils ont fumé un mec écoutant DJ Shadow, traitant mal le DJ par la même occasion. Je vais les voir et leur explique qu'à l'époque c'est moi qui fumait les autres en écoutant DJ Shadow. A ce moment, une voiture passe à coté et la musqique de DJ shadow se répand dans les environs le temps du passage.
A coté,place Clémenceau, je vois une sorte de grande avancée dans un batiment, sous une ogive. Je m'y dirige et demande si le presbytère est bien là. Il y a une plaque à coté de la porte géante dans le fond. La plaque est tres haute et je n'arrive pas à la lire, comme si je n'avais pas de lunettes.
Je décide alors de grandir pour me rapprocher de cette plaque, mais elle est toujours illisible, même quand je fronce des yeux. Je crois voir écrit presbytere et me prépare à taper à la porte.
Je feuillète un magasine traitants des nouveautés CD. Il y a pas ma de CD en hiphop qui semble intéressants, notamment un nouveau CD du club des 7 (dont je peux écouter un extrait) et une critique du dernier album révolutionnaire de Jean-Michel Jarre, ou les rythmes sont fait selon un nouvelle méthode japonaise à base de scratch et de bidouillages sonore. Je me dis que je me les achèterai bien.
Je descend ensuite, je suis à Billere, du moins dans la périphérie de Pau. Il peut des cordes et je vois qu'un concert du club des 7 est prévus dans une église. Il y a deux grandes églises. Je passe à la première qui semble fermée. La seconde à un forme bizarre, qui n'est pas vraiment en forme de croix. L'entrée est situé dans un endroit incongrus du bâtiment. Il y a une grande façade en verre avec une rosace en pierre au milieu.
Le concert ne semble pas là non plus. Je continue ma route sous la pluie et me fait arreter par un facteur. Il me charge de dire au curé de pau que les kilos d'oranges qu'il a commandés arriveront bientot et qu'il doit se tenir pret à les recevoir.
Je continue ma route vers pau et passe instantanément au centre ville. Je me dis que le trajet me semblait pourtant beaucoup plus lointain.
Il pleut toujours et je croise 2 gamins expliquant qu'ils ont fumé un mec écoutant DJ Shadow, traitant mal le DJ par la même occasion. Je vais les voir et leur explique qu'à l'époque c'est moi qui fumait les autres en écoutant DJ Shadow. A ce moment, une voiture passe à coté et la musqique de DJ shadow se répand dans les environs le temps du passage.
A coté,place Clémenceau, je vois une sorte de grande avancée dans un batiment, sous une ogive. Je m'y dirige et demande si le presbytère est bien là. Il y a une plaque à coté de la porte géante dans le fond. La plaque est tres haute et je n'arrive pas à la lire, comme si je n'avais pas de lunettes.
Je décide alors de grandir pour me rapprocher de cette plaque, mais elle est toujours illisible, même quand je fronce des yeux. Je crois voir écrit presbytere et me prépare à taper à la porte.
Bourbon el mexicano (Dimanche 2 septembe)
Je suis dans une sorte de désert. Rien aux alentours. Je me dirige vers une sorte de colline maronnâtre. De nombreux touristes prennent la meme direction.
C'est un site historique. Il y a des oeuvres d'art préhistorique composée de squelettes d'animaux retenus entre eux par des fils, suspendus également. Ils sont tres grands et rangés par taille. Il y a des chats géants, des cerfs dont on reconnaît les crânes. Certains animaux sont réassemblés de façon fantaisistes. Nous nous engageons ensuite dans une tranchée et nous enfonçons dans cette terre marron.
Apres un virage ou nous contournons un grand talus, nous penetrons dans un château sous terre, portant le nom de chateau Bourbon.
Je réalise que nous sommes au Mexique et me demande ce qu'un chateau de style renaissance tres rococo et baroque fait dans ce coin du globe.
En effet, le style est tres flamboyant, chaque detail est sculpté ou gravé. La pierre est tres claire et semble presque reflechir le soleil.
Nous pénétrons dans cette sorte de chateau enseveli sous le sable et penetrons dans une première pièce. Elle ressemble à la proue d'un bateau, mais en pierre, avec quelques traces de bois. Un panneau à l'intention des touristes informe qu'il s'est tenue ici une grande bataille. A ce moment, des gens en armes habillés de manière moderne mais avec des armes médiévales semblent revenir se battre ou refaire la scène.
Depuis la "proue", nous enfonçons dans les entrailles du château, comme si nous allions dans un aquarium dans le tunnel des requins. Nous descendons des escaliers de pierre blanche et croisons alors deux amis. Ils semblent tout exités et déguisés en lutins/farfadets, tout de vert vêtus avec un chapeau pointu de la meme couleurs. Ils nous entraînent dans une sorte de piece secrète adjacente. C'est une grande piece de forme ovale ou sont placé au centre des ceintres avec d'autres costumes de farfadets.
Les deux amis nous expliquent alors l'origine du chateau.
Ils se changent immédiatement et deviennent isabelle la catholique et Philipe de bourbon. La premiere à un bandeau au couleur de l'espagne sur elle, à la maniere d'un maire, le second a deux bandeaux, un aux couleurs de l'espagne et l'autre aux couleurs de la france. Le fait qu'ils soient tous deux mariés ne me pose aucun probleme, j'accepte cette donnée comme évidente. La piece donne alors sur une sorte de parc géant et verdoyant à l'orée du desert, qui semble avoir poussé la de maniere quasi miraculeuse. Nous en faisons le tour.
C'est un site historique. Il y a des oeuvres d'art préhistorique composée de squelettes d'animaux retenus entre eux par des fils, suspendus également. Ils sont tres grands et rangés par taille. Il y a des chats géants, des cerfs dont on reconnaît les crânes. Certains animaux sont réassemblés de façon fantaisistes. Nous nous engageons ensuite dans une tranchée et nous enfonçons dans cette terre marron.
Apres un virage ou nous contournons un grand talus, nous penetrons dans un château sous terre, portant le nom de chateau Bourbon.
Je réalise que nous sommes au Mexique et me demande ce qu'un chateau de style renaissance tres rococo et baroque fait dans ce coin du globe.
En effet, le style est tres flamboyant, chaque detail est sculpté ou gravé. La pierre est tres claire et semble presque reflechir le soleil.
Nous pénétrons dans cette sorte de chateau enseveli sous le sable et penetrons dans une première pièce. Elle ressemble à la proue d'un bateau, mais en pierre, avec quelques traces de bois. Un panneau à l'intention des touristes informe qu'il s'est tenue ici une grande bataille. A ce moment, des gens en armes habillés de manière moderne mais avec des armes médiévales semblent revenir se battre ou refaire la scène.
Depuis la "proue", nous enfonçons dans les entrailles du château, comme si nous allions dans un aquarium dans le tunnel des requins. Nous descendons des escaliers de pierre blanche et croisons alors deux amis. Ils semblent tout exités et déguisés en lutins/farfadets, tout de vert vêtus avec un chapeau pointu de la meme couleurs. Ils nous entraînent dans une sorte de piece secrète adjacente. C'est une grande piece de forme ovale ou sont placé au centre des ceintres avec d'autres costumes de farfadets.
Les deux amis nous expliquent alors l'origine du chateau.
Ils se changent immédiatement et deviennent isabelle la catholique et Philipe de bourbon. La premiere à un bandeau au couleur de l'espagne sur elle, à la maniere d'un maire, le second a deux bandeaux, un aux couleurs de l'espagne et l'autre aux couleurs de la france. Le fait qu'ils soient tous deux mariés ne me pose aucun probleme, j'accepte cette donnée comme évidente. La piece donne alors sur une sorte de parc géant et verdoyant à l'orée du desert, qui semble avoir poussé la de maniere quasi miraculeuse. Nous en faisons le tour.
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