Je suis à concert de robbie williams (ou un truc comme ça). Il fait de l'electro clash et chante en jouant de manière ultra destroy de le batterie. J'ai l'impression de donner des conseil pour certains breaks à robbie, et même d'être là pendant les repetitions, mais ce sentiment reste assez flou. Durant le concert en lui meme, tout le monde danse en couple de manière assez explicite. Beaucoup connaissent les chansons par coeur. De la mousse est envoyé dans la fosse, et seul les visages blancs des plus grands emmergent de cette mer de mousse pour chanter les chansons. C'est là que je réalise que tout le monde autour parle anglais.
Mon frere et moi essayons de draguer les anglaises environnantes --qui semblent peu farouches au vues de leurs danses. Mais si lui y arrive sans trop de difficulté, d'aucune ne veux m'approcher et et encore moins danser à mes cotés.
Mon frère ramène des amies anglaises avec lui. J'essaie toujours de les draguer, toujours sans aucun succès. J'essaie alors d'organiser une excursion à la rivière avec l'une d'elle, mais toutes refusent ma présence.
Nous allons ensuite dans la maison de mon père. Il y a un jeune anglais déprimé avec qui je commence à sympathiser. A l'extérieur, le ciel se couvre très rapidement. J'explique au jeune garçon que je peu lui faire un cd mp3 pour lui remonter le moral. Il accepte et un énorme tonnerre éclate. Je cours fermer la porte fenêtre. Mais un battant est soudain dans le jardin. Je veux aller le chercher et j'aperçois au bas du jardin une petite vieille, amie de ma grand mère, qui revient de la foret et lutte pour remonter la pente la séparant de la maison. Un éclair verdâtre éclate derrière elle, le ciel est aussi de cette couleur, avec des variantes jaunes et rouges très profondes.
Au moment ou je me saisi du battant de la porte fenêtre à l'extérieur, mon frère arrive avec une des précédentes anglaise qui se déclare maintenant la nouvelle Stéphanie de Monaco. JEecomprend qu'elle s'est mariée à mon frère. Elle ferme la porte fenêtre avec un vitrail et nous rentrons.
Alors que je m'apprete à préparer le cd mp3 de l'anglais, un espèce de vieillard à la peau saumâtre recouvert d'une capuche de moine me fait face. Un plan tres rapproché permet l'observation de son anatomy: il a un nez crochu et le mot "dentition" n'est plus pour lui qu'un lointain souvenir. Il parle lentement de choses incompréhensibles.
La camera fixe désormais son interlocuteur, face à lui. Un autre gros plan sur son visage révele un cyclope à la peau verte, aux traits informe, ou le visage cache derrieres ses bosses un sourire mal assuré qui traduit d'une certaine bêtise. Les deux monstre discutent. Tout d'un coup, la tête de l'homme à la capuche s'ouvre d'une trappe au dessus de la bouche, laissant apparaitre une petite maison moyen-ageuse, refuge d'un vert blanc. Ce vert parle et un trou noir beant s'ouvre à la place du nez du cyclope. L'homme à la cagoule se saisit du ver dans sa tete et le balance. Il ne referme pas sa tête et continue son incantation. Un second trou apparaît à coté du premier dans la tête du cyclope, mais celui ci est tout petit et vibre, comme si son visage était de mélasse. Il s'agrandit petit à petit, sous l'oeil apeuré du cyclope qui se met à crier. Ces deux trous dessinent les trous nasaux d'un squelette et vibrent, comme s'il étaient sur de l'eau. Nous demandons à l'homme encapuchonné d'arrêter, ce qu'il fait. Les trous se rebouchent immédiatement. Les deux monstres sont jetés par une meurtrier. Ils sont énervés, et au bas de la meurtrière d'où ils ont été jetés, se mettent à vociférer et lancent un vitrail.
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3 commentaires:
D'accord...
Lol tu aurais d'abord dû penser au CD MP3 en terme de technique de drague voyons! Ca aurait permis de maintenir une certaine concurrence avec ton frère!
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