7.30.2007

Bibles et abris atomiques (nuit du 24 juillet 2007)

Je vais voir deux amis répondant aux noms de Louis et Léa, et qui n'ont comme seul point commun la premiere lettre de leur prenom, ayant en plus le meme nom (et accessoirement les memes parents).
Je m'en vais donc leur annoncer que je pars un petit moment pour faire une experience de vie dans une famille quelque peu "prout-prout". La famille en question vient don me chercher et nous faisons connaissance. Il sont trois, un pere, une mere et un enfant. Mais au moment même ou je els vois je ne veux plus faire l'experience, il est cependant trop tard pour reculer. Nous partons donc en ville, je ne sais si c'est à l'opera ou au restaurant, mais la nuit tombée, nous allons chez eux.
Un message SMS d'une amie me parvient alors, s'écrivant au fur et à mesure sous mes yeux. Il m'annonce qu'Israel a utilisé une bombe atomique sur la Palestine. Au meme moment, je vois le pere rentrer dans la maison affolé, il a visiblement lui aussi appris la nouvelle.
Dehors, la nuit laisse luire une sorte de trou de jour, à l'horizon, et de ce point s'apporche un énorme nuage rouge. Le pere prend la situation en main et décide de nous cacher dans l'abris atomque de la maison. Mais il faut agir vite, le nuage rouge s'approche dangereusement à une vitesse folle.
L'abris est sous le salon. Mais pour l'atteindre il faut avant tout bouger tapis et fauteils. Nous nous y faufilons et voyons à travers le sol le toit et la grande verreire s'écrouler, au moment meme ou nous nous terrons dans l'abris. Nous voyons s'écrouler de gros blocs de pierres, soufflés aussi par l'explosion. Nous craignons que l'abris ne résiste à ces grosses chuttes mais il tient bon. Je recois alors un autre message de la meme amie.
Ce message m'annonce que le precedent était une blague. Il n'y avait pas de bombe atomique. La seule chose qu'Israel a envoyé en Palestine sont des bibles.

7.29.2007

Piano (sieste du 29 juillet)

Je suis tres fatigué, et apres une longue semaine extremement intense, je reviens quelques reves à raconter.

Je suis donc face à un piano droit. C'est un vieux piano poussiereux en bois sombre avec des touches en ivoire. Je l'identifie comme ayant été celui de ma grand mere. Il est completement désacordé. Je touche machinalement quelques touches, essayant de retrouver des sensations passées. Une fille qui passe me demande de lui jouer un morceau, ce que je refuse, car n'ayant pas jouer de piano depuis des années et celui ci étant particulierement désacordé.
Une fois partie, je poursuis néamoins mon exploration de l'instrument qui s'accorde petit a petit, au fur et à mesure de mes pianotement. J'observe aussi que le piano à de petites tirettes comme sur un orgue, et que selon le toucher de ma frappe, un tremolo s'enclanche. Je remarque alors une sorte de petite molette en bois sculpté. En la tournant progressivement, le piano perd ses intonations classiques pour devenir un piano jazz. Je trouve cette molette tres astucieuse me demandant pourquoi je ne l'avais encore jamais remarquée et pourquoi les frabricants ont abandonnés cette riche idée. Je continue de jouer, de mieux en mieux, et je remarque que le piano est sculpté de tout son corps de femmes aux longs cheveux superbes s'entremelant comme dans un tableau de Mucha, dans de grandes rosaces tres art nouveau. J'ai meme l'impression que ces entremelements apparaissent et se tissent au fur et à mesure que je joue.

Puis juste au milieu et au dessus du clavier apparait un trou béant qui revele les mécanisme et les laisse apparent. Certaines touchent qui fonctionnaient ne produisent alors plus aucun sons, et j'observe que les marteaux et les cordes ont disparues.
Je met ma main dans le trou et essaye de replacer marteaux et cordes. Mais des que je touche quelque chose de ce beau mécanisme, je le casse, comme si tout était fait de poussiere que le moindre effleurement ferait s'écrouler. Le piano fini par tomber en poussiere.

7.18.2007

Cyclopes et anglaises

Je suis à concert de robbie williams (ou un truc comme ça). Il fait de l'electro clash et chante en jouant de manière ultra destroy de le batterie. J'ai l'impression de donner des conseil pour certains breaks à robbie, et même d'être là pendant les repetitions, mais ce sentiment reste assez flou. Durant le concert en lui meme, tout le monde danse en couple de manière assez explicite. Beaucoup connaissent les chansons par coeur. De la mousse est envoyé dans la fosse, et seul les visages blancs des plus grands emmergent de cette mer de mousse pour chanter les chansons. C'est là que je réalise que tout le monde autour parle anglais.
Mon frere et moi essayons de draguer les anglaises environnantes --qui semblent peu farouches au vues de leurs danses. Mais si lui y arrive sans trop de difficulté, d'aucune ne veux m'approcher et et encore moins danser à mes cotés.

Mon frère ramène des amies anglaises avec lui. J'essaie toujours de les draguer, toujours sans aucun succès. J'essaie alors d'organiser une excursion à la rivière avec l'une d'elle, mais toutes refusent ma présence.
Nous allons ensuite dans la maison de mon père. Il y a un jeune anglais déprimé avec qui je commence à sympathiser. A l'extérieur, le ciel se couvre très rapidement. J'explique au jeune garçon que je peu lui faire un cd mp3 pour lui remonter le moral. Il accepte et un énorme tonnerre éclate. Je cours fermer la porte fenêtre. Mais un battant est soudain dans le jardin. Je veux aller le chercher et j'aperçois au bas du jardin une petite vieille, amie de ma grand mère, qui revient de la foret et lutte pour remonter la pente la séparant de la maison. Un éclair verdâtre éclate derrière elle, le ciel est aussi de cette couleur, avec des variantes jaunes et rouges très profondes.
Au moment ou je me saisi du battant de la porte fenêtre à l'extérieur, mon frère arrive avec une des précédentes anglaise qui se déclare maintenant la nouvelle Stéphanie de Monaco. JEecomprend qu'elle s'est mariée à mon frère. Elle ferme la porte fenêtre avec un vitrail et nous rentrons.

Alors que je m'apprete à préparer le cd mp3 de l'anglais, un espèce de vieillard à la peau saumâtre recouvert d'une capuche de moine me fait face. Un plan tres rapproché permet l'observation de son anatomy: il a un nez crochu et le mot "dentition" n'est plus pour lui qu'un lointain souvenir. Il parle lentement de choses incompréhensibles.
La camera fixe désormais son interlocuteur, face à lui. Un autre gros plan sur son visage révele un cyclope à la peau verte, aux traits informe, ou le visage cache derrieres ses bosses un sourire mal assuré qui traduit d'une certaine bêtise. Les deux monstre discutent. Tout d'un coup, la tête de l'homme à la capuche s'ouvre d'une trappe au dessus de la bouche, laissant apparaitre une petite maison moyen-ageuse, refuge d'un vert blanc. Ce vert parle et un trou noir beant s'ouvre à la place du nez du cyclope. L'homme à la cagoule se saisit du ver dans sa tete et le balance. Il ne referme pas sa tête et continue son incantation. Un second trou apparaît à coté du premier dans la tête du cyclope, mais celui ci est tout petit et vibre, comme si son visage était de mélasse. Il s'agrandit petit à petit, sous l'oeil apeuré du cyclope qui se met à crier. Ces deux trous dessinent les trous nasaux d'un squelette et vibrent, comme s'il étaient sur de l'eau. Nous demandons à l'homme encapuchonné d'arrêter, ce qu'il fait. Les trous se rebouchent immédiatement. Les deux monstres sont jetés par une meurtrier. Ils sont énervés, et au bas de la meurtrière d'où ils ont été jetés, se mettent à vociférer et lancent un vitrail.

Stargate vs jack kirby (nuit du 17 au 18 juillet, premiere partie)

La premiere partie de cette nuit est assez confuse, je ne me souviens que du glissement de mon reve vers l'univers star gate, apres qu'une femme me demande, à moi et à 2 hommes, d'enfiler des capotes blanches. Il y a trois tailles, une taille immense, une normale et une petite, je choisi la normale alors que les deux autres choisissent la taille immense et petite. De ce que je me souviens, je suis tres amis avec celui qui choisit la grande taille, meme si c'est un hybride moitié homme moitié chien.
Cependant, ces capotes font saigner les penis et je retire la mienne. Mais la femme avec qui nous somme a un bébé, je ne sais pas pourquoi (je ne sais meme pas si c'est lié à ces capotes). Nous décidons d'envoyer le bébé dans un autre monde par la star gate. Je lance le bébé a travers la porte en me disant que ça manque un peu de délicatesse, que j'aurais pu simplement le poser surle sol et le poussser un peu. Mais c'est fait. A ce moment surgit un monstre de la porte. C'est un vieux super vilain apparaissant dans le premier combat des 4 fantastiques contre galactus (version comics des années 60, je vous attreperais une image plus tard). Il bondit avec ses 8 affreux bras pour tout detruire autour de lui. Tout ce qu'il touche devient du vide. La fille attraoe une sorte de balle lui permetant de bondir d'univers en univers, mais la bete la poursuit et la rattrape. La scene se rejoue plusieurs fois en vain, la bete fini toujours par tout detruire.

7.17.2007

Hitler vs Superman

Je suis en pleine lecture du "Meilleur des mondes" de Huxley. Cette lecture a forcément influencé mon reve.

Je suis en effet dans un grand batiment administratif démesuré que seul un systeme totalitaire sait inventer, au style néo-classique de rigueur. Je suis un cadre moyen et je me promene sous les plafond gigantesques. Les hommes sont en costume-uniforme, les femmes habillés de maniere tres provocatrice. Les hommes les droguent pour abuser d'elles. J'en vois une partir sur l'épaule d'une autre tentant ainsi de proteger son amie. Je pince discretement les fesses de la fille droguée qui me répond d'un sourire en remontant sa jupe pour me montrer ses dessous tout autant provocateurs. Les voilà hors de ma vue.
Je me retrouve ensuite, je ne sais comment, dans une voiture avec un autre homme et une autre femme. Ils me tendent un déguisement de costume de superman de tres mauvaise qualité, très fin et dans un espece de lycra. J'ai un mal fou à l'enfiler et je pense au vrai superman qui le fait en moins d'une seconde. Une fois ce pénible travail effectué, je sors de la voiture, qui est sur un genre de carefour à la mode de Dubaï, démesuré et bordé de palmier. Il y a un complexe de cinema à coté, j'y vole pour me faire remarquer et fonce sur le batiment géant de l'administration qui est voisin. Il est recouvert de papier journal. Je me débarasse des gardes sur le toit et entreprend de defaire le papier journal, dévoilant ainsi le batiment de l'union europeene qu'il était auparavant. Un autre toit en forme de fronton grec classique révèle une fois découvert une partition de symphonie dissonante. La musique a été interdite, j'essaie donc de la jouer. Mais les partitions m'échapent des mains et tombent.
Je continue de decouvrir l'ouvrage pour faire s'ecrouler le systeme.

7.16.2007

Jeu vidéo et triche

Je suis dans l'univers des simpsons, policier, et il y a une taupe parmis notre brigade. On ne sait pas qui il est, mais rapidement je me rend compte que c'est mon collegue de patrouille. Je le suis alors, mais désincarné, et c'est sous forme de bande déssiné que je le vois trainer dans les quartiers chauds de la ville, tuant des irlandais saoul et des mafieux la nuit au nom de la police.
Une chef décide de changer les casiers de la caserne par de nouveaux casiers, mais d'en laisser tout de meme un défoncé; elle est persuadée que cette méthode démasquera notre zozo. Un autre chef a une méthode plus expéditive pour obtenir les aveux de notre taupe. Il réunit tous les policiers dans une espece d'arene taurine ronde et assez petite et demande aux policiers de courir dans le cercle. Il y a au millieu un espece de zorro masqué à cheval qui ne bouge pas. Il fait tourbilloner au dessus de sa tete une longue corde terminée d'une lourde masse qui assome les moins rapides. Les policiers K.O passent alors aux aveux. Mais le ripoux n'est pas là.


Me voilà au coeur d'un jeu vidéo. La présentation est simple, je suis sur une sorte de radeau de fortune et je dois éviter les obstacles.
Je suis sur une riviere verte, aux couleurs criardes et flashy, comme un jeu vidéo de la fin des années 90. La rivière est etroite, il y a des lianes, des bouches d'égout, des cascades à éviter. Cela est peu commode, j'y arrive après plusieurs essais et la cascade débouche dans un grand batiment gris, une sorte de lycée, ou je peux essayer d'ouvrir des portes et parler aux gens alors qu'ils me considerent comme un criminel en fuite. Mais je perd rapidement et n'arrive plus à revenir au lycée. Qu'à celà ne tienne, je décide d'éteindre l'ordinateur/console de jeu et de le rallumer brusquement. Je suis alors dans le jeu avec ma barque, mais il n'y a plus d'eau, d'obstacles ni de porte. Je peux librement explorer la riviere et le lycée. Il n'y a plus aucune couleur, tout est soit devenu tout gris, soit tout vert, du vert des fonds d'effet speciaux, traversé de lignes blanches horizontales et verticales dessinant le relief. Je suis au coeur du jeu, mais n'y suis plus vraiment non plus.

7.15.2007

Hand ball 3000 (nuit du 14 à 15 juillet 2007)

Petit rêve assez banal cette nuit.
Je rentre à l'université avec un ami dénomé augustin. C'est une grande batisse de style gothique flamboyant, assez spéctaculaire. Cet ami veut s'inscrire à un club de football, et je m'inscrit pour ma part à un club de handball.
C'est une équipe mixte, mais je ne retrouve plus mes chaussures stan smith à scratch, il n'y a que celles à lacet. Tant pis, je me jette sur le terrain. Mais je suis en retard, cela ne plait pas au coatch qui refuse de m'entrainer. Je regarde les autres s'entrainer et faire des tours de terrain. L'entraineur m'accepte finalement et je commence à courrir. Contrairement aux autres je ne suis pas du tout essouflé. Mais l'entraineur m'entraine à part, ce qui fait ricaner une grosse fille. Je cours, elle cour en face de moi. Sans la voir, je lui rentre dedans, ce qui semble plaire à l'entraineur qui m'integre vraiment dans l'équipe.

7.14.2007

L'apocalypse par M. Bignan (nuit du 13 au 14 juillet 2007)

Me voilà avec ma famille dans une thalassothérpie. Nous nous baignons dans un grand batiment au plafond très haut, une piscine olympique au millieu, de petits bassins environant. L'ambiance y est legere et détendue.
Tout d'un coup un tremblement de terre monstrueux se fait sentir. Tous les nageurs se ruent paniqués au millieu du grand bassin, esperant ainsi etre épargné d'une éventuelle chute d'objet, meme si celà me semble ridicule. La secousse semble durer une éterité.
Une fois passé le seisme surgit M. Bignan (au college, ce petit bonhomme fut un professeur de technologie tres strict, à l'image de sa petite moustache certainenement inchangée depuis son service militaire). Il a tôt fait de nous annoncer que la fin du monde est proche, une véritable apocalypse se prépare, ou nos vies ne seront plus jamais les mêmes. Guerres planétaire à base de technologies cachées, de robots géants destructeurs, d'armes bactériologiques et meme une invasion extraterrestre sont le programme de ses réjouissances. Nous sommes priés d'abandonner tous nos projets de vie et de mourir en silence.

Cependant, M. Bignan promet aux plus fort de survivre en passant un test. Dans la thalasso, il récupere un espece de vidéoprojecteur qui pose des questions aux fur et à mesure à tous les volontaires. Ce sont des questions de culture générale, bien souvent sur la bible et je me dis "facile". Mon tour venu, j'ai droit à des question de geek sur la porté des robots tueurs dans star wars et la puissance de certains ordinateurs. J'échoue lamentablement et regarde mes amis et frere s'armer fierement comme des soldats.

Avec ma mere, nous décidons de partir. Le ciel est tout gris, sans aucun bruit, ce qui est assez flippant. Il y a deja des batiments en ruine, et des robots géants surarmés sortis de film de science fiction. Nous prenons une vieille volvo break, y cachons mon petit frere et fuyons en essayant d'éviter les patrouilles énemies.
En revenant dans notre maison, un général etranger nous intercepte, nous révelant la superchie de l'affaire Bignan, agitateur patenté qui n'en est pas à son premier coup d'essai et vient d'etre neutralisé. Nous sortons le petit de sa cachette. Tout est bien qui finit bien.

7.13.2007

Treking autour du monde (nuit du 3 Mai 2007)

Je suis avec mon pere face à un magnifique chateau cathare à moitié en ruine, composé de belles voutes romanes et de dependances magnifiques.

Nous sommes en fait sur un chemin sacré et continuons notre route sur les cretes des pyrénées. Un peu plus loin, ma carte m'indique que la pointe de l'inde est face à moi, direction plein sud. Je scrute en face l'ocean, regarde en bas, une sorte de pente vertignineuse plongeant dans l'ocean. Je tombe, mais je réussi à me rattraper et remonter. Nous décidons alors de faire le tour du monde à pied en suivant le cercle polaire. Nous continouons notre route sur les cretes ennéigées. Nous passons en amérique, ou le paysage tout plat contraste avec celui montagneux ou nous étions. Nous marchons jusqu'au détroit de béring. Nous tentons de le traverser, mais nous avons une couille.

Nous sommes dans l'eau et appelons à l'aide des pinguins sur un radeau pneumatique. Ils nous aident et tentent de nous faire passer en asie, ou nous voyons se redresser les immenses montagnes. Mais il y a une sorte de palier, un piege a franchir assez difficile pour mettre pied a terre. Je saute, et je rate, tombant dans l'eau. J'arrive à remonter un peu plus loin. Quand je reviens, je vois mon pere qui hurle, il a le bras gauche sectionné net au niveau de l'épaule. J'apelle l'ambassade de france en secours depuis une cabine téléphonique et nous partons en alaska avec les pinguins. Ils nous acceuillent avec des inuits.

Mon pere devient tyranique avec les pinguins. Il s'est confectionné une sorte de siège en plastique avec une bassine, et la toujours collé au fesses, meme debout. Il y sequestre dessous un pinguins et va jouer au poker en buvant du whiski avec les inuits. Il est devenu tres amer. Un jour, un gros cargo se pose, ce sont les secours. Je me precipite vers eux, et il font style de parler en quebecois pour nous faire une blague. Il sont toute une troupe sympatique, mais mon pere refuse de repartir avec eux et veux aller en argentine.

Nous prenons une voiture direction le sud et nos roulons des jours et des jours. A un moment, les paneau sont en espagnols et salvador se met a chanter dans toutes les radios. Je me dis que nous sommes bientot arrivés.

Présentation

Il faut le faire, s'adresser directement à ses lecteurs en les regardants dans les yeux. Enfin en un sens. Profitez en bien, ce sera certainement la seule et derniere fois.
J'ai eu l'idée de ce blog pour parler de mes reves. Les noter quelque part et les faire partager. Car un reve, c'est un voyage, drole, angoissant, rassurant, imprévisible. Et Comme pour un voyage, on aime prendre des photos, les montrer à ses amis. Je voudrais faire chaque article comme un instantané, garder une trace ou l'on peut facilement revenir.
Je ne compte pas parler de moi, et mon identité n'a aucune importance. Je serais lapin3000, le lapin blanc qui vous ouvre les portes de son inconscient; 3000 parce qu'il est tellement moderne ce lapin...

Enfin, je voulais cette petite presentation pour prevenir que je ne me drogue pas, ne fume ni ne bois avant de dormir. Mes reves sont certifiés bio. Et s'ils ne l'étaient pas, cela serait signalé. J'espere sincerement qu'il ne sera pas necessaire de revenir sur ce point.

Voilà maintenant les recomendations faites. Vous savez ou sont les sorties de secours et les gilets de sauvetage. Je vous souhaite un agréable voyage.