10.28.2008
9.04.2008
ELLE (nuit du 3 au 4 septembre 2008)
Elle me dit qu'Elle m'aime encore.
Le train bondé redémarre, comme s'il ne devait plus jamais s'arrêter. Les deux filles fraichement installés en face de moi me font du gringue, mais je les ignore à moitié. Parce qu'elle me dit qu'Elle m'aime encore. Pourtant je ne la connais pas cette fille dans le couloir, cette fille qui ressemble à un travesti. Mais, méticuleusement, elle s'applique à me démontré qu'Elle m'aime encore. Elle...
Elle a beau s'être remise avec quelqu'un d'autre, Elle fait semblant pour me faire réagir. Comme Elle a déjà su le faire.
J'aimerai la croire, mais j'aimerai surtout l'oublier. Elle continue.
Je me réveille troublé. Il est 4 heures du matin, j'ai du mal à retrouver le sommeil. Ce que m'a dit l'étrange personnage est faux. Et même si c'était vrai, il est trop tard, je ne le sais que trop bien.
C'est anxieux que j'atterris sur le quai d'une gare. Tout est gris ou blanc, une sorte d'hiver s'est installé.
Elle m'attend. Elle a changé. Sa jeunesse me frappe une fois de plus, accentué par ses vêtements de femme intégralement noirs. Comme ses cheveux, impeccablement plaqué en une mèche parfaite sur sa tête. Son visage s'est arrondi. Son grain de beauté a disparu.
Appuyé à un muret, c'est à peine si elle me remarque.
Je fixe ses yeux noirs, un silence gênant s'installe.
"Comment s'appelle ton copain?" Ma réplique finit de glacer l'atmosphère.
_"Vincent". La réponse est immédiate, presque brutale. "De toute manière il est trop tard".
Avant qu'elle n'ait terminé sa phrase, je l'embrasse.
A ma surprise, elle ne me repousse pas, et me rend mon baisé. Un langue froide pénètre dans ma bouche. Glacé même. Ce contact me désarçonne. Elle rit brièvement tout en m'embrassant. Se moque t'elle de moi et de mon baisé ridicule?
Lorsqu'elle se retire, c'est à la fois une souffrance et un soulagement. Elle me regarde dans les yeux, me parle d'une voix très calme, presque joueuse.
"Tu as encore raté ta chance".
Le train bondé redémarre, comme s'il ne devait plus jamais s'arrêter. Les deux filles fraichement installés en face de moi me font du gringue, mais je les ignore à moitié. Parce qu'elle me dit qu'Elle m'aime encore. Pourtant je ne la connais pas cette fille dans le couloir, cette fille qui ressemble à un travesti. Mais, méticuleusement, elle s'applique à me démontré qu'Elle m'aime encore. Elle...
Elle a beau s'être remise avec quelqu'un d'autre, Elle fait semblant pour me faire réagir. Comme Elle a déjà su le faire.
J'aimerai la croire, mais j'aimerai surtout l'oublier. Elle continue.
Je me réveille troublé. Il est 4 heures du matin, j'ai du mal à retrouver le sommeil. Ce que m'a dit l'étrange personnage est faux. Et même si c'était vrai, il est trop tard, je ne le sais que trop bien.
C'est anxieux que j'atterris sur le quai d'une gare. Tout est gris ou blanc, une sorte d'hiver s'est installé.
Elle m'attend. Elle a changé. Sa jeunesse me frappe une fois de plus, accentué par ses vêtements de femme intégralement noirs. Comme ses cheveux, impeccablement plaqué en une mèche parfaite sur sa tête. Son visage s'est arrondi. Son grain de beauté a disparu.
Appuyé à un muret, c'est à peine si elle me remarque.
Je fixe ses yeux noirs, un silence gênant s'installe.
"Comment s'appelle ton copain?" Ma réplique finit de glacer l'atmosphère.
_"Vincent". La réponse est immédiate, presque brutale. "De toute manière il est trop tard".
Avant qu'elle n'ait terminé sa phrase, je l'embrasse.
A ma surprise, elle ne me repousse pas, et me rend mon baisé. Un langue froide pénètre dans ma bouche. Glacé même. Ce contact me désarçonne. Elle rit brièvement tout en m'embrassant. Se moque t'elle de moi et de mon baisé ridicule?
Lorsqu'elle se retire, c'est à la fois une souffrance et un soulagement. Elle me regarde dans les yeux, me parle d'une voix très calme, presque joueuse.
"Tu as encore raté ta chance".
8.25.2008
Dans le sillage des smashing pumkins
Je rentre dans un grand jardin. Je vais jouer au poker. Dans le jardin, assis sur une souche, quelqu'un est là. Est que je le/la connais? Peut être, cette personne me dit quelque chose. Mais à coté, il y a un paon. Je m'approche, vais voir la personne. Puis j'essaie d'imiter le cris de l'oiseau pour qu'il me réponde. Mais mes "léon, léon" restent sans réponse. Le paon se retourne, me montrant sa queue. Elle est magnifique, moins colorée que je ne le pensais. Il se retourne une seconde fois, s'en va. Son bec devient une gueule monstrueuse.
J'entre dans la maison. M'installe à une table de poker. Je suis seul contre une autre personne. Je distribue, tombe sur deux as. La flop arrive, fais une erreur de manipulation. 6 cartes sont retournés, la partie est annulée. Je suis dégouté.
Me voilà sur un terrain de sport. Je m'entraine au coté de l'équipe de France de rugby. J'ai été sélectionné; je ne sais pas trop pourquoi. Guillaume arrive, nous décidons de partir.
Nous sommes à Biarritz, la nuit vient de tomber. Une véritable armée de flic débarque, des membres du GIGN grouillent partout. Nous les observons. Ils se faufilent dans l'obscurité, nous ne savons pas ce qu'ils veulent. Des milliers de jeunes curieux sont là et regardent.
Un train arrive, un train remplit de flic. De vieux wagons d'un style très XIXe passent devant nous. Ils sont en bois. On y voit des gamelles de nourriture remplit de chair et d'os, comme si une orgie de viande avait été célébré dedans. Le train passe.
Quelque chose cloche. Je crois que nous nous promenons ensuite dans la ville, avant de revenir à notre point de départ, ou il y a encore plus de monde. Un train passe, nous montons dedans. Nous nous installons sur le deuxieme étage. Le paysage défile. La mer, le rocher de la vierge, de grande côtes et falaise. Mais le train ne s'arrête jamais.
Il y a a coté de moi une jolie métisse, absolument magnifique. Nous nouons contact. Elle me donne un prénom difficilement mémorable, turco-kazakh selon elle. Nous fleurtons en nous rendons compte que ce train ne s'arrêtera pas, qu'il était un piège dans lequel nous somme tombés.
Guillaume et moi décidons de sauter en marche.
Nous tombons dans la jungle alors que le train traversait un pont. Nous tombons nez à nez sur tarzan, ligoté par terre. Nous lui défaisons ses liens, puis partons.
Nous voilà embauché comme guitariste de la tournée de smashing pumpkins.
J'entre dans la maison. M'installe à une table de poker. Je suis seul contre une autre personne. Je distribue, tombe sur deux as. La flop arrive, fais une erreur de manipulation. 6 cartes sont retournés, la partie est annulée. Je suis dégouté.
Me voilà sur un terrain de sport. Je m'entraine au coté de l'équipe de France de rugby. J'ai été sélectionné; je ne sais pas trop pourquoi. Guillaume arrive, nous décidons de partir.
Nous sommes à Biarritz, la nuit vient de tomber. Une véritable armée de flic débarque, des membres du GIGN grouillent partout. Nous les observons. Ils se faufilent dans l'obscurité, nous ne savons pas ce qu'ils veulent. Des milliers de jeunes curieux sont là et regardent.
Un train arrive, un train remplit de flic. De vieux wagons d'un style très XIXe passent devant nous. Ils sont en bois. On y voit des gamelles de nourriture remplit de chair et d'os, comme si une orgie de viande avait été célébré dedans. Le train passe.
Quelque chose cloche. Je crois que nous nous promenons ensuite dans la ville, avant de revenir à notre point de départ, ou il y a encore plus de monde. Un train passe, nous montons dedans. Nous nous installons sur le deuxieme étage. Le paysage défile. La mer, le rocher de la vierge, de grande côtes et falaise. Mais le train ne s'arrête jamais.
Il y a a coté de moi une jolie métisse, absolument magnifique. Nous nouons contact. Elle me donne un prénom difficilement mémorable, turco-kazakh selon elle. Nous fleurtons en nous rendons compte que ce train ne s'arrêtera pas, qu'il était un piège dans lequel nous somme tombés.
Guillaume et moi décidons de sauter en marche.
Nous tombons dans la jungle alors que le train traversait un pont. Nous tombons nez à nez sur tarzan, ligoté par terre. Nous lui défaisons ses liens, puis partons.
Nous voilà embauché comme guitariste de la tournée de smashing pumpkins.
8.24.2008
La rencontre de Cha et Gauthier
Gauthier et Charlotte sont dans une pièce, peut être un peu sombre. Cha n'a pas l'air bien. A travers la bouche de Gauthier, je lui demande ce qui ne va pas pas. Je ne peux pas le dire répond elle. J'insiste. Je ne peux pas le dire. Gauthier insiste. Elle ne peux pas le dire.
Je me matérialise dans la pièce, assis sur un lit derrière eux. Gauthier saisit une carte de France. Il trace des zones. Dans celle de Pau, il écrit "Cha". En Auvergne, le prénom d'une fille que je ne connais pas. A bordeaux, le nom de Laurence. Puis mon nom en Normandie. Je fais remarquer que la Rochelle est plus au sud. Il s'exécute. La Rochelle est encore plus au sud je redis. Il refait. Je me sens biaisé.
Gauthier enchaine. Sa passion est de faire parler les gens dit-il. Leur mettre la pression. Jusqu'à qu'ils parlent. Je suis inexistant derrière eux.
Je me matérialise dans la pièce, assis sur un lit derrière eux. Gauthier saisit une carte de France. Il trace des zones. Dans celle de Pau, il écrit "Cha". En Auvergne, le prénom d'une fille que je ne connais pas. A bordeaux, le nom de Laurence. Puis mon nom en Normandie. Je fais remarquer que la Rochelle est plus au sud. Il s'exécute. La Rochelle est encore plus au sud je redis. Il refait. Je me sens biaisé.
Gauthier enchaine. Sa passion est de faire parler les gens dit-il. Leur mettre la pression. Jusqu'à qu'ils parlent. Je suis inexistant derrière eux.
8.23.2008
C'est aujourd'hui, en aout 2008. C'est la seconde guerre mondiale. C'est à Mont que je me rend, traversant une foule de gamin jouant au ballon. Ils ont l'air menaçant, me rappellent les gamins de l'école prêts à me tomber dessus à la recrée. Mais je passe, je rentre chez moi. Ce n'est plus à Mont.
Marlene est là. Je lui prend la main. Nous nous remettons ensemble. Je suis convoqué. Je pénétré dans une pièce rouge: quelqu'un est en face de moi. Une femme. Rouge, des pieds à la tète: Le tissus ne laisse qu'entrevoir son visage. Elle a deux antennes dorées sur le sommet de la tête, ou peut être le coté. Elle me fait parler dans une sorte de boite. Voilà, c'est tout.
Je veux rejoindre Marlene. Elle n'est plus là. En fait, si, elle est encore là: elle dort à coté. Je vais la voir, elle se lève en pyjama blanc, assez ridicule.
Je suis heureux qu'elle reste avec moi, je la rejoins au lit. Nous nous embrassons, mais quelque chose ne va pas.
La réponse semble évidente: JE SUIS RADIOACTIF! On m'a piégé dans la chambre rouge, on m'a irradié. Il est trop tard maintenant. La guerre continue.
Marlene est là. Je lui prend la main. Nous nous remettons ensemble. Je suis convoqué. Je pénétré dans une pièce rouge: quelqu'un est en face de moi. Une femme. Rouge, des pieds à la tète: Le tissus ne laisse qu'entrevoir son visage. Elle a deux antennes dorées sur le sommet de la tête, ou peut être le coté. Elle me fait parler dans une sorte de boite. Voilà, c'est tout.
Je veux rejoindre Marlene. Elle n'est plus là. En fait, si, elle est encore là: elle dort à coté. Je vais la voir, elle se lève en pyjama blanc, assez ridicule.
Je suis heureux qu'elle reste avec moi, je la rejoins au lit. Nous nous embrassons, mais quelque chose ne va pas.
La réponse semble évidente: JE SUIS RADIOACTIF! On m'a piégé dans la chambre rouge, on m'a irradié. Il est trop tard maintenant. La guerre continue.
8.22.2008
Cendres
Mes mères sont Lesbiennes. Je suis à la maison avec elles, à Arthez. Il y a peut être d'autres gens, mes frères, mes cousins? Par les fenêtres, on voit les montagnes. Des cendres les dévalent, des vagues de cendres se rapprochent dans des nuances de gris et de noir. Elles foncent, pénètrent par les fenêtres grandes ouvertes. Je me précipite pour les fermer. En fait, de tous les côtés de l'horizon, des vagues, des nuages, des pluies de cendres arrivent des montagnes. Il faut fermer toutes les fenêtres. La maison est recouverte d'une épaisse couche noire cendreuse.
1.03.2008
Bombe atomique en amphithéatre
Je n'ai pas envie d'aller en cours. En plus je deteste le prof. Je décide donc de fabriquer une bombe atomique. Pour ça, je prend des éléments d'une sorte de tableua enfantin décrivant une ferme ou une voie ferrée. j'enlevecles images du tracteur, des rails, du tunel et les met dans un sac. Ma bombe est prete. Mais il faut encore trouver la salle. J'ai une sorte de plan, mais je ne le coprend pas bien. J'enfourche alors des sortes de rollers et je me met à glisser rapidement sur le sol. Peut etre que je cours aussi. En tout cas je vais vite. J'ai du mal à comprendre le plan, il est un peu flou. Je vois une route adjacente au campus que je dois traverser. J'atterie une premiere fois dans une sorte de jardin ou des enfants jouent. Je fais demi tour, mon beau pere me conseille un intinéraire que je suis. J'arrive dans une espece de souk moderne, tres propre et en béton, mais ça me fait un peu peur, je fais demi tour et le contourne. Je vois enfin l'amphi et son entrée. Mais il y a pleins de monde autour, des petits vieux et leurs petits enfants, et surtout un nombre incalculable de policier. Ca me fait un peu flipper, et en plus je n'ai pas envie de faire du mal aux enfants. Je jete alors ma bombe atomique dans la poubelle.
Je rentre dans l'amphi. Il y a pleins de petits vieux venus assister aux cours. Je passe par dessus une barriere et descend dans l'amphi. Il n'y a dedans que de gens de ma promo, les petits vieux restent légerement en retrait. Je m'assied à coté d'une connaissance. J'ai du mal à suive le cour, j'ai l'impression d'etre attaqué par les trois petits cochons. Le professeur plse des questions etranges, les gens ont des comportements étranges. Je vois le garçon assis a coté de moi s'en aller main dans la main avec une fille de l'amphi. De quelques coups de crayon, je fais un portrait géant de sarkozy sur une table, espérant ainsi impressioner ma voisine qui m'ignore royalement. Il ne reste plus beaucoup de temps. Le prof se met à rigoler avec nous. Il nous apprend qu'il n'a que 21 ans. Je me dis qu'il fait bien plus vieux et mature que moi même, je m'en sens presque blessé. Je me demande comment il a réussi a etre prof de fac à un age si jeune. Il se met ensuite à nous demander nos noms un peu au hasard. Il s'arrete sur moi et je m'en sens flatté. Je lui annonce que je m'apelle **** **** ****** alias JR. Il enchaine directement sur une blague juive. Je trouve encore ça dingue que tout le monde me prenne véritablement pour un juif. Tout l'amphi est hilare. A mon tour je lui demande la diférence entre un juif et un steack. Mais tout l'amphi est parti sur sa blague et ma blague est noyé dans le brouaha.
Le cour se termine. Finalement, je me dis que ce prof est bien sympatique et qu'il aurait été dommage de le faire sauter. Je me promet de revenir la semaine suivante.
Je rentre dans l'amphi. Il y a pleins de petits vieux venus assister aux cours. Je passe par dessus une barriere et descend dans l'amphi. Il n'y a dedans que de gens de ma promo, les petits vieux restent légerement en retrait. Je m'assied à coté d'une connaissance. J'ai du mal à suive le cour, j'ai l'impression d'etre attaqué par les trois petits cochons. Le professeur plse des questions etranges, les gens ont des comportements étranges. Je vois le garçon assis a coté de moi s'en aller main dans la main avec une fille de l'amphi. De quelques coups de crayon, je fais un portrait géant de sarkozy sur une table, espérant ainsi impressioner ma voisine qui m'ignore royalement. Il ne reste plus beaucoup de temps. Le prof se met à rigoler avec nous. Il nous apprend qu'il n'a que 21 ans. Je me dis qu'il fait bien plus vieux et mature que moi même, je m'en sens presque blessé. Je me demande comment il a réussi a etre prof de fac à un age si jeune. Il se met ensuite à nous demander nos noms un peu au hasard. Il s'arrete sur moi et je m'en sens flatté. Je lui annonce que je m'apelle **** **** ****** alias JR. Il enchaine directement sur une blague juive. Je trouve encore ça dingue que tout le monde me prenne véritablement pour un juif. Tout l'amphi est hilare. A mon tour je lui demande la diférence entre un juif et un steack. Mais tout l'amphi est parti sur sa blague et ma blague est noyé dans le brouaha.
Le cour se termine. Finalement, je me dis que ce prof est bien sympatique et qu'il aurait été dommage de le faire sauter. Je me promet de revenir la semaine suivante.
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