Je suis avec mon pere, nous nous rendons dans la maison de ma grand-mère aujourd'hui décédée. Nous entrons dans le garage, qui regorge de vieilles affaires poussiereuses baignants dans la pénombre. Il y a une ambiance vraiment tres particuliere dans la maison; mon père sort alors un petit appareil étrange à cadran se terminant par une grosse antenne. L'aiguille de l'appareil s'affole. Nous sommes en présence de nombreux fantomes, ou du moins d'un fantome tres puissant. A ce moment, trois verres se mettent à léviter et s'avancent vers moi. Je suis mort de trouille, je lance un grand coup au hasard, te les verres se brisent par terre. Je prend soin de les mettre en tous petits morceau, que je réunis dans un poubelle pour les faire bruler.
La porte du garage s'ouvre alors brusquement. Un homme au regard froid et au visage anguleux pénetre alors dans le garage. Ses longs cehveux noirs et son trench coat élimés dégoulinent à cause de la pluie à l'interieur. Il sort de son portefeuille ce qui semble etre une carte de police. Mais c'est un présarvatif sur une plaque de police qu'il a en réalité. Il s'exclame alors "Police du sexe, je vais tous vous baiser!". Nous arrivons à l'immobiliser, et de véritables pompiers et policiers arrivent pour "défantomiser" la zone.
Mais l'experience avec le fantome m'a laissé amère. Je dois organiser une fete dans la maison le soir même, mais je n'ai plus vraiment le coeur à ça. Une amie de ma mere arrive avec sa petite fille de 3 ans. Elle porte un costume de mickey que je m'empresse d'essayer. Je n'ai en fait qu'une culotte trop petite de mickey, avec ses deux gros boutons jaunes. Je me sens des plus ridicule et m'en débarasse.
Je téléphone alors à un bon ami pour parler de l'épisode du fantome. Il me fait remarquer que ce fantome était surement ma grand mère, et que si elle était un fantome si puissant, elle ne devait pas etre aussi angélique que je semble le croire. Je ne comprend pas ce qu'il veux me dire, et quand je lui demande de m'expliquer, le téléphone se coupe. Malgres tous mes essais, je n'arrive plus à le contacter. Je suis seul avec mes intérogations.
8.27.2007
8.25.2007
Je suis dans une situtation on ne peux plus banale, je pense même être dans la réalité. Je croise une connaissance avec qui je me met à discuter. Au fur et a mesure de la discussion, nous parlons d'un de mes vieux rêve ou il était un personage. Je commence à me demander comment il le connait lui aussi, comment il a pu vivre cette situation hors de mon inconscient. Je comprend à la seconde ou je m'éveille. Ce n'était qu'un rêve.
8.13.2007
Chemin de Nuit (12 au 13 aout)
Je viens d'emménager à Paris. Malheureusement, je ne connais personne et je m'ennuie un peu. Je décide alors de me promener dans les rues alentours. L'architecture ressemble plus à un village de province qu'à la capitale. J'explore donc les rues, fait plusieurs fois le tour de mon quartier et fini par me retrouver à la campagne sur un chemin de gravier blanc. Je passe un petit pont de bois et une cote descendente puis j'arrive, alors que tombe la nuit, à l'orée d'un petit bois ou un groupe fait un feu.
Me revoilà encore sur le sentier, alors que re-tombe la nuit. La lune n'est plus qu'un mince croissant et j'ai de plus en plus de mal à voir devant moi. Je rencontre ici des gens qui se sont fait surprendre par la nuit tombante, et je les guide jusqu'à la foret et son camps, maintenant que je connais le chemin. Pour m'aider, alors qu'il fait nuit presque noire, j'utilise mon téléphone portable son faible faisceau lumineux. Je connais les obstacle et m'attend au pont et à la descente, qui ne me surprenent pas en pleine nuit. Nous arrivons au camp ou un feu et des victuailles nous attendent.
Me revoilà encore sur le sentier, alors que re-tombe la nuit. La lune n'est plus qu'un mince croissant et j'ai de plus en plus de mal à voir devant moi. Je rencontre ici des gens qui se sont fait surprendre par la nuit tombante, et je les guide jusqu'à la foret et son camps, maintenant que je connais le chemin. Pour m'aider, alors qu'il fait nuit presque noire, j'utilise mon téléphone portable son faible faisceau lumineux. Je connais les obstacle et m'attend au pont et à la descente, qui ne me surprenent pas en pleine nuit. Nous arrivons au camp ou un feu et des victuailles nous attendent.
8.12.2007
Basquet atomique (11 au 12 aout, seconde partie)
Je suis avec quelques amis, nous écoutons du mauvais hiphop. D'autres déboulent et nous invitent au tournoi de basquet sur terrain irradié de la ville de Mourenx. Nous nous empressons d'y aller, et je garde précieusement dans ma main mon CD single de Corrona (the rythm of the night), bien décidé à l'écouter durant le match. Nous arrivons dans la ville et nous installons dans une petite maison en attendant le match. Nous continuons de parler hip hop en en écoutant. Je suis affalé dans un fauteil quand deux adolescentes vienntent s'assoir à coté de moi, se frottant. Mais je ne veux pas d'ennui, elles sont trop jeune et j'ignore leur attitude, m'endormant dans mon siege.
A mon reveil, une caméra suis les traces de cette compétition attypique. Je vois les images du tournoi, le sol est irradié et pour éviter les radiations néfastes, les gens mettent des poches plastiques autour de leur basquet. Il fait nuit, et la camera interview ensuite une jeune black gothique. Elle est en pleur et raconte son histoire, photos à l'appui, ou elle s'est faite avoir par un homme dont elle était amoureuse. Derriere elle, sur le versant d'une grande butte, un homme fait du tai-chi. Des qu'elle le voit, elle s'élance à sa rencontre comme une furie et le gifle violement. Elle s'écrit "c'est lui, c'est lui", et en effet, la photo qu'elle avait montré correspond avec la tete du bonhomme, qui s'en va vexé.
Je me dis que le pauvre homme aura désormais sa réputation entaché par une hystérique et la télévision.
A mon reveil, une caméra suis les traces de cette compétition attypique. Je vois les images du tournoi, le sol est irradié et pour éviter les radiations néfastes, les gens mettent des poches plastiques autour de leur basquet. Il fait nuit, et la camera interview ensuite une jeune black gothique. Elle est en pleur et raconte son histoire, photos à l'appui, ou elle s'est faite avoir par un homme dont elle était amoureuse. Derriere elle, sur le versant d'une grande butte, un homme fait du tai-chi. Des qu'elle le voit, elle s'élance à sa rencontre comme une furie et le gifle violement. Elle s'écrit "c'est lui, c'est lui", et en effet, la photo qu'elle avait montré correspond avec la tete du bonhomme, qui s'en va vexé.
Je me dis que le pauvre homme aura désormais sa réputation entaché par une hystérique et la télévision.
Plastiques et dragons (11 au 12 Aout)
Je suis dans une sorte de monde d'héroic fantasy. Il y a une montagne énorme et maléfique qui sert de refuge au roi de ce monde. Quelqu'un hisse une baniere provocatrice sur cette montagne.
Le lendemain est jour de conseil exeptionel ou tous les chefs barabres sont réunis dans un amphithéatre pour trouver le traitre qui a osé cet affront. Il se trouve que c'est moi. Je saute au millieu de l'amphi et découvre que je suis un espece de tout petit dragon en plastique bleu aux formes tres ronde. Je réalise etre le fils du roi, le fils du dragon géant qui veille sur la montagne.
Les gens sont choqués et décident d'aller voir leur roi. Les voilà en route vers un petit village medieval. Nous sommes devant une sorte de porte fermé par une grosse grille de fer, qui protege une sorte de passerelle. Les gens présents tentent de l'ouvrir, bien que je leur dise que cela est inutile.
Arrivent ensuite mes frères. Ce sont aussi des petits dragons ronds en plastique, aux couleurs tres flashy. Ils sont sont une dizaine. Ils décident de savoir qui sera digne de succéder au roi, et se moquent de moi car je suis le plus faible.
Nous ouvrons la porte qui débouche sur une sorte de passerelle en plastique vert et jaune. Le premier se met en boule et se laisse rouler sur cette passerelle. La paserelle descend et remonte, est semée d'embuche et débouche dans la gueule et l'intestin du dragon géant-roi.
Il déboule en trombe mais tombe sur un obstacle, une sorte de dent posé au millieu du circuit.
Tous tentent leur chance et tous échouent, tombant de la passerelle, se heurtant à un obstacle ou finissant dans le ventre de leur pere. C'est à mon tour, je suis le dernier. Je me met moi aussi en boule et je roule. A la fin du parcours, avant de me faire dévorer par le dragon géant, je tombe lamentablement de la passerelle. Mais le dragon, tout content, me prend dans ses griffes en disant que je serai son hériter.
Le lendemain est jour de conseil exeptionel ou tous les chefs barabres sont réunis dans un amphithéatre pour trouver le traitre qui a osé cet affront. Il se trouve que c'est moi. Je saute au millieu de l'amphi et découvre que je suis un espece de tout petit dragon en plastique bleu aux formes tres ronde. Je réalise etre le fils du roi, le fils du dragon géant qui veille sur la montagne.
Les gens sont choqués et décident d'aller voir leur roi. Les voilà en route vers un petit village medieval. Nous sommes devant une sorte de porte fermé par une grosse grille de fer, qui protege une sorte de passerelle. Les gens présents tentent de l'ouvrir, bien que je leur dise que cela est inutile.
Arrivent ensuite mes frères. Ce sont aussi des petits dragons ronds en plastique, aux couleurs tres flashy. Ils sont sont une dizaine. Ils décident de savoir qui sera digne de succéder au roi, et se moquent de moi car je suis le plus faible.
Nous ouvrons la porte qui débouche sur une sorte de passerelle en plastique vert et jaune. Le premier se met en boule et se laisse rouler sur cette passerelle. La paserelle descend et remonte, est semée d'embuche et débouche dans la gueule et l'intestin du dragon géant-roi.
Il déboule en trombe mais tombe sur un obstacle, une sorte de dent posé au millieu du circuit.
Tous tentent leur chance et tous échouent, tombant de la passerelle, se heurtant à un obstacle ou finissant dans le ventre de leur pere. C'est à mon tour, je suis le dernier. Je me met moi aussi en boule et je roule. A la fin du parcours, avant de me faire dévorer par le dragon géant, je tombe lamentablement de la passerelle. Mais le dragon, tout content, me prend dans ses griffes en disant que je serai son hériter.
8.10.2007
Vautours
Je ne sais pas pourquoi, mais je n'arrive pas à me souvenir de mes reves en ce moment. Esperons que ça passe vite.
Je pense néamoins à mes fideles lecteurs et je vous offre une bribe du rêve de ce matin.
Je me prépare avec deux personnes pour aller aux fetes de Paris, comme si c'était les fetes d'un petit village. Nous avons un chapiteau géant soudé en guise de tente, mes collegues s'en occupent et le dessoudent pour le rentrer dans le coffre de notre petite voiture. Nous nous allongons ensuite dans le jardin. Il ne fait pas vraiment jour ni vraiment nuit, un ciel entre chien et loup, mais je ne sais pas si c'est le crepuscule ou l'aube.
En tout cas, des que je regarde le ciel, je vois un enorme cercle de vautour qui tournent au dessus de nos tetes. Ils sont tous à égale disance l'un de l'autre et avancent tous à la meme vitesse. Ce cercle est tres impressionant. Nous regardons les rapaces tournoyer au dessus de nos têtes et nous levons. Ils s'enfuitent alors de maniere désordonée et lente.
Quand je me reveille, l'image de ce cercle est tres nette dans mon esprit, véritablement imprimée.
Je pense néamoins à mes fideles lecteurs et je vous offre une bribe du rêve de ce matin.
Je me prépare avec deux personnes pour aller aux fetes de Paris, comme si c'était les fetes d'un petit village. Nous avons un chapiteau géant soudé en guise de tente, mes collegues s'en occupent et le dessoudent pour le rentrer dans le coffre de notre petite voiture. Nous nous allongons ensuite dans le jardin. Il ne fait pas vraiment jour ni vraiment nuit, un ciel entre chien et loup, mais je ne sais pas si c'est le crepuscule ou l'aube.
En tout cas, des que je regarde le ciel, je vois un enorme cercle de vautour qui tournent au dessus de nos tetes. Ils sont tous à égale disance l'un de l'autre et avancent tous à la meme vitesse. Ce cercle est tres impressionant. Nous regardons les rapaces tournoyer au dessus de nos têtes et nous levons. Ils s'enfuitent alors de maniere désordonée et lente.
Quand je me reveille, l'image de ce cercle est tres nette dans mon esprit, véritablement imprimée.
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